
VENISE, UN LIEU MA ANCHE UN VIAGGIO NELL'EUROPA CHE MI PIACE NOT THE ONE OF THE GLOBALIZATION, MAIS CELLE DES NATIONS, DES PEUPLES, DES CULTURES, PATRIA DELLA DEMOCRAZIA DELLA FILOSOFIA DELLA STORIA LA REINE DES VILLES AU SEIN DE L'EUROPE, REINE DU MONDE
04 mars 2025
Xe finio carnoval !

22 mai 2024
Offrez-nous un café !
Il s'agit de proposer à nos lecteurs un moyen pour nous soutenir en adressant via un QR code l'équivalent d'un ou plusieurs cafés. L'idée est sympathique et je l'ai essayé auprès de sites que j'aime bien et qui ont adopté la formule.
Mais, à Buy Me A Coffee ils ne se contentent pas de proposer une adaptation contemporaine des cafés suspendus ou des appels aux dons. Ils donnent aux abonnés la possibilité d'avoir une boutique, et autres outils intéressants et bien plus légers que le sempiternel FaceBook de moins en moins utilisé par les jeunes générations.
Nous avons donc adopté Buy Me A Coffee. La page des dons est désormais opérationnelle. Les sommes engrangées, outre les cafés que nous consommerons pour ne pas nous endormir, viendront compléter le résultat des dons que certains fidèles ne manquent pas de nous adresser, nous permettant de créer une cagnotte. Celle-ci sera utilisée pour aider au fonctionnement de notre maison d'édition, modeste projet qui démarre piano piano entre Venise et Bordeaux.
Bien entendu, nous publierons régulièrement des informations concernant l'usage que nous ferons des sommes réunies : publier des ouvrages bilingues ou des traductions françaises de textes déjà publiés en italien, sur Venise et sa civilisation, de poésie, d'histoire, etc. Nous pensons aussi à apporter notre contribution à des initiatives qui nous toucheront dans l'esprit de Tramezzinimag. Ne nous sommes-nous pas baptisé après tout, et ce depuis presque vingt ans, les «Fous de Venise» dont ce site est l'organe ?
Phase test donc. N'hésitez-pas à nous faire part de vos ressentis et vos idées. Comme votre fidélité, la régularité et la pertinence de vos commentaires font notre bonheur ! Alors à vos claviers !
Coups de Cœur N°61
30 avril 2024
Coups de Cœur N°60
Voici le 60ème Coup de Cœur de Tramezzinimag ! La toute première livraison de la rubrique date du 20 décembre...2005. (elle est toujours en ligne, pour la lire cliquer ICI). Presque vingt ans et des dizaines de Coups de Cœurs toujours revendiqués. Certaines bonnes adresses ne sont plus, mais livres, disques et films restent disponibles je crois. Aucun remord, aucun regret, nous ne revenons pas sur les choix que nos lecteurs sont nombreux à avoir apprécié.
Prochainement (bientôt !) : une page répertoire détaillé de l'ensemble de nos coups de cœur avec les liens pour faciliter la recherche.
Venezia Secolo Ventuno
Visioni e strategie per
Anteferma edizioni,
Venezia.2020
ISBN : 978-8832050509
17€
L'ouvrage est sorti il y a trois ans. Il demeure cependant d'actualité et permet aussi de faire connaître aux lecteurs de Tramezzinimag (qui lisent l'italien) la maison d'édition qui l'a publié dont le catalogue est plein de trésors sur lesquels nous reviendrons. L'auteur, architecte de son état, nous livre un constat très clair du vivre à Venise au XXIe siècle. Comme le dit la notice, il aborde le destin de Venise, l'urbanisation globale et le destin de la planète. «Des thèmes apparemment éloignés mais qui se rejoignent. Universellement reconnue comme l'une des plus belles villes du monde, Venise est aujourd'hui menacée par la crue des eaux et la monoculture touristique ». Elle se dépeuple, elle se meurt. Comment accepter sa disparition, voire la planifier ? «Dans le scénario mondial du 21e siècle, Venise pourrait être l'une des villes les plus attrayantes de la planète car, en raison de sa durabilité intrinsèque, elle est un exemple paradigmatique de la ville du futur.» Nous n'avons jamais tenu un autre discours dans ce blog : «Une ville compacte à taille humaine, un port d'idées, un carrefour de connaissances et de savoir-faire, un pont entre l'Orient et l'Occident, où la vie est associée à la beauté, à l'harmonie et à la durabilité.»
Les locataires de l'été
Traduit de l'américain par Eric Chedaille
Libretto Poche, 2022
153pages.
8,30€
Une belle découverte. On m'avait beaucoup parlé de l'américain Charles Simmons, romancier et journaliste récemment disparu (2017). Ce petit roman qui date de 1997 est un pur régal. Texte court (152 pages), à l’écriture vive et légère. L'histoire est assez simple : été 1968, un adolescent de quinze ans, fils unique, est en vacances, comme avec ses parents dans leur maison sur une presque-île de la Côte Atlantique des États-Unis. Passionnés par la navigation et par la mer, le garçon et Peter son père passent beaucoup de temps sur leur bateau, un petit voilier en bois, l'Angela. Mais les événements vont se compliquer avec l'arrivée dans le pavillon voisin de la fantasque Madame Mertz et de sa fille, Zina, âgée de vingt ans, apprentie photographe et, surtout, d'une éblouissante beauté. Michael, foudroyé par cette belle jeune femme, découvre l'amour, ses rêves, sa réalité, ses douleurs. C'est Michael qui raconte cet été-là, celui de ses quinze ans et de son passage précipité et douloureux vers l'âge adulte.
144 pages.
ISBN : 978-2764442555
16€
Il arrive parfois que le hasard nous mette entre les mains un livre inattendu qui nous bouleverse et nous remplit d'une vraie joie. C'est le cas de ce court récit qui nous vient du Québec. Dès sa sortie, il a enthousiasmé bien des lecteurs, critiques, auteurs ou simples amateurs de lecture. J'en suis à 100%. Je ne résiste pas à vous raconter l'anecdote, car c'est bien de cela qu'il s'agit dans ma rencontre avec l'ouvrage. Une terrasse au soleil, premiers soleils après des jours de bourrasque et de ciels bas et tristes. Une jeune femme qui lit à la table à côté. Je ne distingue pas bien le titre de son livre. Ce que je vois c'est une couverture verte à l'aspect usagé, fané, un oiseau aux ailes déployées occupe presque tout l'espace. Je pense à un bouquin d'occasion. Soudain, la jeune femme le pose, ouvert contre la table et se lève. se tournant vers moi, elle me demande si je peux veiller sur ses affaires un instant. J'acquiesce évidemment. En tendant le bras pour désigner la table, elle fait tomber le livre. Je me penche pour le ramasser, elle aussi. S'en suit un cafouillage, fou-rire de part et d'autre. Une scène à la Christophe Honoré. Finalement, je me relève le livre entre les mains, la jeune femme aussi.Elle me remercie en me gratifiant d'un très joli sourire. A son retour, nous évoquons le livre que j'ai rapidement feuilleté. Elle m'en parle avec enthousiasme, me conseille vivement de le lire. Voilà l'histoire. Revenu chez moi, j'ai recherché ce qu'on en disait sur le net. «Magnifique récit poétique, Le roitelet de Jean-François Beauchemin donne envie de vivre, d’aimer et d’admirer la lumière qui tombe le soir, avec ceux que l’on aime» écrit Gabrielle Napoli dans la revue en attendant Nadeau (ICI) .
Un homme vit paisiblement à la campagne avec sa femme Livia, son chien Pablo et le chat Lennon. Pour cet écrivain parvenu à l’aube de la vieillesse, l’essentiel n’est plus tant dans ses actions que dans sa façon d’habiter le monde, et plus précisément dans la nécessité de l’amour. À intervalles réguliers, il reçoit la visite de son frère malheureux, éprouvé par la schizophrénie. Ici se révèlent, avec une indicible pudeur, les moments forts d’une relation fraternelle marquée par la peine, la solitude et l’inquiétude, mais sans cesse raffermie par la tendresse, la sollicitude.
« À ce moment je me suis dit pour la première fois qu’il ressemblait, avec ses cheveux courts aux vifs reflets mordorés, à ce petit oiseau délicat, le roitelet, dont le dessus de la tête est éclaboussé d’une tache jaune. Oui, c’est ça : mon frère devenait peu à peu un roitelet, un oiseau fragile dont l’or et la lumière de l’esprit s’échappaient par le haut de la tête. Je me souvenais aussi que le mot roitelet désignait un roi au pouvoir très faible, voire nul, régnant sur un pays sans prestige, un pays de songes et de chimères, pourrait-on dire.»
Recette gourmande : la Gallina Ubriaca
Traditionnellement, les Coups de Cœur de Tramezzinimag finissent par une recette culinaire vénitienne ou inspirée de la cuisine du Veneto mais pas seulement Celle qui vous est proposée aujourd'hui est liée à une petite anecdote familiale...
J'étais récemment chez une vieille dame, grande amie de la famille et l'une des dernières survivantes de la génération de mes parents chez qui elle avait longtemps servi. Elle m'a raconté une anecdote que j'avais oublié et qui mériterait un plus grand développement. Nous habitions à la campagne où mon père était médecin. La maison était grande et souvent pleine d'amis et de parents qui en appréciaient l'accueil et le confort. On y mangeait bien. Un jour d'été, mon père ramena un groupe d'amis quelques heures avant le déjeuner. Ma mère aurait préféré avoir le temps d'organiser leur visite mais comme à son habitude, elle se contenta de soupirer, sachant pertinemment qu'il était inutile de rappeler combien il est nécessaire de prévenir en cuisine assez tôt pour que tous s'organisent.
Mon père était déjà reparti visiter ses malades, laissant ma mère et la maisonnée déjà bien pleine, s'occuper de tout. Pour nourrir tout ce monde, les deux volailles déjà apprêtées ne suffiraient pas. Il fallait bien en ajouter deux autres. La cuisinière, ma grand-mère, ma mère, mes tantes et notre bonne se rendirent à l'évidence : il allait falloir tuer ces pauvres bêtes. Ce fut ma tante danoise qui suggéra de les faire boire jusqu'à les saouler. Il serait alors plus facile de leur trancher la gorge. Mais pour ce faire, il fallait les attraper, les tenir et les forcer à ingurgiter le cognac - ou l'armagnac, nous sommes en Périgord - et attendre qu'ivres, elles tombent quasiment mortes. J'imagine la tension des femmes de la maison et le petit bonhomme que j'étais alors assistant au spectacle sans comprendre de quoi il ressortait.
Imaginez la course après les volatiles. La vieille dame ne savait plus s'il s'agissait de pintades ou de poulets. Toujours est-il qu'après maints efforts, cris et fous-rires, les cinq femmes arrivèrent à leur fin. Les bêtes totalement ivres furent égorgées, plumées et farcies et tout le monde se régala. Après ma visite, je suis allé jeter un coup d’œil dans les carnets conservés de cette époque pour tenter de retrouver une trace de l'évènement. Dans l'un des grands cahiers de recettes de la famille, j'ai retrouvé un feuillet maculé de tâches, certainement du gras, couvert d'une écriture déliée mais hésitante. C'était en italien. Le titre : «Gallina ubriaca». C'est certainement cette recette traditionnelle de la campagne vénitienne qui donna l'idée aux femmes de la maison d'enivrer ces pauvres bêtes, poules ou pintades...
Il vous faut : une belle poule ou un gros poulet bien en chair, un litre de vin rouge (un merlot ou cabernet sauvignon de qualité), 1/4 litre de cognac, 150 gr de praiatoli (champignons de couche), 100g de farine ou maïzena, 150 g de pancetta fraîche, 1 gros oignon, 1 gousse d'ail, romarin, persil, un peu de thym frais, 100 g de beurre, 1 cs d'huile d'olive, sel et poivre frais moulu, grains de poivre.
Découper la volaille en six ou huit morceaux, les fariner et les disposer dans une marmite en fonte (ou autre mais à fond épais), les faire dorer à feu vif dans l'huile en remuant souvent pour éviter que la viande attache. Quand les morceaux sont dorés, ajouter le cognac en une fois et le vin, sel, poivre et le persil finement haché.Porter à ébullition pour réduire le jus puis cuire à feu doux pendant environ deux heures.
Pour la sauce : dans une casserole à fond épais, faites fondre le beurre, y ajouter la pancetta taillée en lardons, les champignons égouttés et coupés en julienne avec l'oignon, puis la branche de romarin. Faire cuire à feu doux pendant une quinzaine de minutes. Verser la sauce obtenue sur la volaille et continuer à faire cuire.
Servir les morceaux très chauds nappés de la sauce, traditionnellement accompagnés de polenta (en purée ou en losanges préalablement passés au grill). On peut aussi choisir un accompagnement de haricots verts frais, de gnocchis au romarin ou de purée de pommes de terre. Bon appétit.
08 février 2024
Tramezzinimag remonte le temps avec Wayback Machine !
Comme je l'annonçais en fin d'année, Tramezzinimag, s'il n'a pas retrouvé le nombre de lecteurs quotidien et a perdu plus de 80% de ses abonnés depuis ce jour fatidique du 28 juillet 2016 où le site fut avalé par un robot gourmand avec la totalité des archives, notes, vidéos, sons, photos, ou par la volonté inique de certaines personnes que les billets dérangèrent, a résisté. Tramezzinimag II a pris la suite et vaillamment, avec une équipe réduite au minimum, nous avons reconstitué le blog.

En retrouver les pages perdues est donc depuis des mois notre mission. Bien des billets sont encore à repêcher sur la Toile (encore un terme qu'on n'emploie plus 19 ans après la naissance de Tramezzinimag...
Sa résurrection, avec le soutien de lecteurs fidèles, tous devenus de vrais amis, mais aussi grâce à un outil web dont nous ne vanterons jamais assez les mérites, l'extraordinaire Wayback Machine - littéralement « machine à revenir en arrière » -, inventé un organisme à but non lucratif, Internet Archive (**) qui permet d'accéder aux clichés instantanés de pages web qu'il stocke depuis sa création. Sans cette gigantesque bibliothèque numérique, les 2148 billets publiés entre le 7 mai 2005 et le 16 août 2016 auraient été irrémédiablement perdus.
Le temps passé à reconstituer les pages anciennes, repostées avec les dates d'origine (même année, même même jour, même heure) pour en faciliter la recherche par les lecteurs, se fait au détriment de la création de nouveaux billets.
Mais ce n'est que temporaire, nous avons tellement d'idées de sujets à évoquer pour nos lecteurs et la relecture des billets d'il y a huit, douze ou dix-huit ans nous permet de mesurer comment les choses ont évolué ou se sont dégradées pour Venise, les vénitiens et la lagune.



Notes :
25 décembre 2023
avec Giorgione, Tramezzinimag vous souhaite un Joyeux Noël !
TraMeZziNiMag
est heureux de vous souhaiter
un
Très Joyeux Noël !
Bonnes Fêtes de Noël à nos fidèles lecteurs et amis, aux auteurs, photographes, illustrateurs, journalistes, tous les Fous de Venise du monde entier qui nous soutiennent depuis la création du blog, en 2005 !
20 août 2023
Où il est question du passé bien rangé dans de belles boîtes et de la lune bleue joliment jaune
Un titre inhabituellement long pour ce billet inspiré par les semaines passées et cet été 2023 qui fut à la fois somptueux et misérable. Il n'est pas loin de sa fin bien que demeure encore dans l'air l'espérance d'autres belles journées à venir avant l'automne. Demain, ce sera la (deuxième) pleine lune d'août, une de ces splendides lunes bleues qui font rêver les enfants poètes.
Déjà depuis deux jours elle est là, jaune comme du sable avec son visage immortalisé par Méliès (*), sans la fusée dans l’œil mais jaune comme le réalisateur l'avait imaginée. Avec elle un changement de température mais aussi un air plus fluide, plus léger et presque frais. Un ciel bas aussi prémices de l'automne qui n'est plus très loin ; comme un avertissement.
Surpris, les gens délaissent les terrasses et les rues sont presque vides. Il n'y a pas que le climat bien sûr, l'ambiance est morose depuis plusieurs mois et le retour des vacances s'avère encore plus douloureux que d'habitude. Les prix qui flambent (pourtant la valeur des matières premières diminue), la crainte de ceux sur qui on continue de faire pression dans les medias et qui appréhendent le retour de la pandémie. Ils me donnent envie de raconter une fois encore ce que furent les vraies pandémies de notre histoire, la fulgurance de leur extension, la mort se propageant partout à une échelle qui rend ridicule les chiffres des victimes du Covid..
Mais ne repartons pas dans les polémiques même si la colère est grande devant la gigantesque esbrouffe des nos dirigeants et ce presque partout dans le monde... Bref bien des raisons de se sentir tendu sur cette planète... Pourtant le beau temps revient toujours après la pluie et jamais les entreprises diaboliques - que l'on croit au démon ou pas - ne triomphent jamais.
J'ai rangé donc. Et comme toujours j'ai redécouvert mille vestiges, humbles souvenirs de jolis moments de vie comme nous en avons tous. La première boite ouverte contenait des pochettes de photos datant de l'époque pas si lointaine où nos souvenirs restaient visibles et palpables, fixés durablement sur du papier, dans des cadres sur les meubles ou aux murs.

L'âge venant, la nostalgie se fait bien plus assidue qu'autrefois, quand la vie active, les enfants, la nécessité d'aller à l'essentiel occupaient suffi-samment ma vie pour que remontent à la surface les souvenirs d'autrefois, petits et grands moments de l'enfance et de la jeunesse. Cette période unique où nous voulons être plus grands, plus forts, plus libres tout en nous félicitant d'être aimés, protégés, portés. Paradoxe de l'homme qui se satisfait rarement du présent, pressé d'entrer dans un avenir rêvé, promesse d'indépendance et de liberté.
__________________
NOTES
(*) - Le voyage dans la lune, Georges Méliès, 1902.
(**) - En expliquer le pourquoi serait digne d'un mauvais roman de non-aventure avec des non-héros et des nuages toxiques. Ne perdons pas de temps avec cela. Une page tournée.
16 juin 2022
Initialement prévue pour juin 2020, la France fêtée par Proloco Lido est enfin une réalité !
Il aura fallu beaucoup de patience et de détermination à tous les organisateurs pour mener à bien cette manifestation longuement concoctée dès 2019 et qui aurait dû se dérouler du printemps à l'automne 2020 si la crise sanitaire n'était pas venue tout bouleverser. Deux ans plus tard, le projet voit le jour et c'est, ce samedi, le moment le plus attendu : la dégustation de vins et de fromages français dans un des plus jolis hôtels du Lido, la Villa Mabapa où règne le fringant Antonio Vianello, dynamique directeur de l'établissement, à la tête d'un personnel sympathique et attentif à rendre aux visiteurs leur séjour le plus agréable possible et à l'avocat Luca Serafini, membres très actifs du mouvement Proloco Lido di Venezia-Pellestrina
Samedi, dès 20 heures une soixantaine de chanceux - ceux qui ont pris soin de prendre assez tôt leur réservation et quelques invités pourront goûter des vins bordelais issus de l'agriculture biologique et des fromages artisanaux amenés par les producteurs qui les feront déguster. Un groupe de musiciens accompagnera la soirée qui se déroulera dans les jardins de la Villa Mabapa, cet hôtel de belle renommée pour son accueil son style et la qualité de sa table. A ce propos, les hôtes ne se contenteront pas de vins et de fromages, mais ils se régaleront de plats traditionnels des provinces de France réinterprétés par le cusuinier et son équipe.
Pour ceux qui sont à Venise ce jour-là, venez ! Il reste encore quelques places.