Bobo Ferruzzi |
.C'est vrai, je suis parti, sans rien dire, en catimini. Certains d'entre vous s'en sont inquiétés ! Cela fait plaisir de se savoir un tout petit peu utile à mes lecteurs ! J'ai tiré les volets, fermé la porte à double tour et, le chat confié aux voisins, nous avons quitté Bordeaux, son ciel pollué, ses travaux, sa poussière pour des horizons plus purs. Il fallait bien ça. Tant de mois de fatigue amassée, de lassitude, de stress mal digéré et ce teint, grisâtre, comme les nuages bordelais... Bref, je vous ai abandonné une longue semaine. Mais me revoici, reposé, bronzé, de joyeuse humeur (comme les enfants d'ailleurs), plein d'idées et de (nouveaux) textes. Car, sous ma glycine, face à la lagune, j'ai beaucoup travaillé. Je ne dirai pas que c'est avec joie que nous avons repris le chemin de Bordeaux. Il fait si lourd ici. Mais il faut bien reprendre les habitudes et la nécessité de la vie nous ramène toujours vers notre devoir... Encore un petit effort, quelques années de travail encore, et, Dieu voulant, ce sera Venise per sempre (pour toujours). Enfin.
En attendant, c'est promis, je ne m'en irai plus sans vous prévenir !
En attendant, c'est promis, je ne m'en irai plus sans vous prévenir !
posted by lorenzo at 21:40
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