Celui-ci pose bien malgré lui et ne semble pas tout à fait satisfait de la présence indiscrète du photographe. Méfiant mais poli, il se tient sur ses gardes, dubitatif "Sait-on jamais" se dit-il "peut-être après tout ce bipède qui me tire le portrait ne me veut pas de mal et me donnera-t-il une caresse voire quelque chose à manger". Au risque de me répéter, Venise est vraiment le paradis des chats : pas de voitures, des humains le plus souvent très attachés aux félins, et les chiens muselés ; l'histoire de la Sérénissime aussi et la tradition qui en font une confrérie respectée et protégée ; le climat idéal pour les matous. Bref, être chat à Venise c'est garanti beneficum sine cura !
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