On vient de m'apprendre il y a quelques minutes la mort du peintre Bobo Ferruzzi, survenue lundi. Il avait quatre-vingt-deux ans. Cet appel a fait surgir en moi une grande émotion. Ce sont mille souvenirs qui remontent à la surface, tout un pan de ma jeunesse vénitienne se rappelle à moi, mes trahisons, mes abandons, mes échecs, la tristesse de n'avoir pu assez lui dire mon affection, ma reconnaissance... Adieu Maestro !
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