22 novembre 2010

Ce quotidien que nous aimons

Comme le décrivait si bien Julien Gracq, aller faire le marché à Venise... Passer par des ruelles et des campi calmes que la pluie a lavé.. Prendre son temps, discuter avec le marchand. parler de la pluie et du beau temps... Humer tous les parfums de la vie quotidienne, l'odeur marine que le grand canal amène au pied du marché, le parfums des fruits et des légumes... Puis les cloches qui sonnent, le cri des vendeurs appelant le chaland, le musicien des rues avec le cliquetis de la pièce qui tombe dans sa coupelle... Rien que de très humble, de très ordinaire. Mais quel bonheur.

Photographie © Dorli

3 commentaires:

Enitram a dit…

Oui, quel bonheur!

Martin a dit…

Salut, on manque tout cela en Allemagne, malheureusement!

Marie G a dit…

la dernière fois que j'ai fait mon marché à Venise, j'avais acheté entre autres du poisson pour le rapporter l'après-midi même en Belgique.... notre avion a été supprimé à cause de grèves à Bruxelles... Nous avons miraculeusement récupéré la valise de soute et transité par Amsterdam, ensuite le train etc.... heureusement les queues de lotte étaient encore fraîches à minuit!

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