"Je veux rester ici sans penser : je veux vivre.
Les yeux épris du ciel n'ont pas besoin de livre.
L'automne de Venise épargné du soleil,
Sera ma rêverie et mon repos vermeil..."
Albert Mérat, les villes de marbre
VENISE, UN LIEU MA ANCHE UN VIAGGIO NELL'EUROPA CHE MI PIACE NOT THE ONE OF THE GLOBALIZATION, MAIS CELLE DES NATIONS, DES PEUPLES, DES CULTURES, PATRIA DELLA DEMOCRAZIA DELLA FILOSOFIA DELLA STORIA LA REINE DES VILLES AU SEIN DE L'EUROPE, REINE DU MONDE
Je viens de découvrir un article élégant publié par Marie-Odile Beauvais, ravissante jeune écrivain de talent, dans le magazine Marianne
que j'avoue n'avoir jamais feuilleté mais qui étant cité dans notre
revue de presse sur Venise méritait qu'on y jette un coup d’œil. Rappelant les envolées lyriques des journalistes mondains du New York Times ou du New Yorker, lorsqu'ils parlent de Venise ou de Paris, l'envoyée du journal de J.-F. Kahn (dont a vu récemment qu'il était capable de publier le pire...),
cet article sur les meilleures vues d’hôtel de la cité des doges
présente aussi quelques adresses gastronomiques intéressantes comme le Met, le restaurant de l'Albergo Metropole récemment coté par le Guide Michelin et investi à la fois pas les membres de l'Academia italiana della Cucina et les adeptes du mouvement Slow Food. Je vous invite à lire cet article comme je vous recommande l'excellent "Proust vous écrira" (Melville Editeur) que Marie-Odile Beauvais a publié en 2005.
Ou va le monde !
Très
secret, cet homme fréquentait peu la société vénitienne où il était
unaniment respecté et apprécié. Très lié à sa famille, il vivaitretiré
sur le grand Canal, au Palais Businello. Les obsèques ont lieu ce lundi,
dans la basilique des Frari. Marié à Maria Teresa Moretti, il a trois enfants Marta, architecte à Milan, Cristina qui vit à Rome et Alberto,
qui s'occupe de la propriété familiale de Caorle, ferme modèle qui
passionnait le vieil homme. De nombreux témoignages de sympathie ne
cesent de se manifester depuis l'annonce de sa mort.