En attendant, laissez-moi vous faire découvrir un petit bijou de film d'animation qui commence de se tailler une jolie réputation sur la toile. Il ne faut rien en dire de plus. C'est en tout cas un beau travail réalisé par un groupe d'étudiants de l'ESMA, Charlotte BOISSON, Julien FOURVEL, Pascal HAN-KWAN, Tristan REINARZ, Fanny ROCHE, vite remarqué, ce court-métrage a été primé dans de nombreux festivals. mais c'est déjà en dire trop (et ce n'est en aucune manière de la publicité !).
VENISE,UN LIEU MA ANCHE UN VIAGGIO NELL'EUROPA CHE MI PIACE NOT THE ONE OF THE GLOBALIZATION MAIS CELLE DES NATIONS DES PEUPLES DES CULTURES, PATRIA DELLA DEMOCRAZIA DELLA FILOSOFIA DELLA STORIA LA REINE DES VILLES AU SEIN DE L'EUROPE REINE DU MONDE
25 avril 2010
COUPS DE CŒUR (HORS SÉRIE 8) : "Get Out" , un superbe court-métrage d'animation
En attendant, laissez-moi vous faire découvrir un petit bijou de film d'animation qui commence de se tailler une jolie réputation sur la toile. Il ne faut rien en dire de plus. C'est en tout cas un beau travail réalisé par un groupe d'étudiants de l'ESMA, Charlotte BOISSON, Julien FOURVEL, Pascal HAN-KWAN, Tristan REINARZ, Fanny ROCHE, vite remarqué, ce court-métrage a été primé dans de nombreux festivals. mais c'est déjà en dire trop (et ce n'est en aucune manière de la publicité !).
15 avril 2010
COUPS DE CŒUR (HORS SÉRIE 7) : Solution locale pour un désordre global
(*) : AMAP : Associations pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne
15 commentaires:
- FRANCOIS a dit…
-
Dur et réel constat d'une dégradation qui épouvante.....
Comment se mobiliser tous pour que la nouvelle municipalité trouve des solutions durables pour la conservation de la beauté de Venise et ainsi pour continuer à élever les âmes ds habitants de cette planète devant un tel exemple!!!
Je reviens sur mon idée: comment s'associer aux associations vénitiennes qui se mobilisent pour conserver l'âme profonde de leur ville!Il y a des millions de vrais amoureux de Venise dans le monde!!! on doit se faire entendre pour mettre fin à cette lente détérioration qui ne doit surtout pas être inéluctable!!!!!! - 15 avril, 2010
- marc.gualtieri a dit…
-
Cher Lorenzo,
les Africains ne sont pas là pour sauver Venise , mais plus basiquement pour sauver leur peau..
Ils revendiquent eux aussi leur part du gateau que nous autres européens bien pensant conservons bien jalousement , tout en continuant à les exploiter dans leurs propres pays , avec l'aide de leurs dirigeants.
Avant de les stigmatiser , et de les considérer comme " inférieurs " , comme certains le font à travers leurs idées politiques, ceux-ci seraient bien inspirés de réfléchir à leur propre mode de vie , et voir si de ce côté là , il n'y a pas aussi quelque chose à penser.. ,dire.. , et faire...
A bientôt pour le "Grand Soir "
Ciao
Marco - 16 avril, 2010
-
-
Je n'ai pas vu le film de Colline Serreau mais je recommande un magnifique documentaire sorti il y a peu qui s'appelle Le Temps des grâces, de Dominique Marchais, sur le même sujet : que faisons-nous de la terre.
Quant aux pauvres malheureux africains qui traînent à Venise
bien sûr, ils essayent de gagner leur vie...que faisons-nous pour l'Afrique ?
Amicalement. - 16 avril, 2010
-
-
Faut pas pousser, les enfants: nous ne sommes pas responsables de tout les maux qui sévissent en Afrique: corruption généralisée, du plus modeste échelon au plus élevé, accaparement des richesses par les groupes ethniques, "clanisation" de toutes les activités économiques, violences généralisées, culture du racisme.....
Bon, si vous voulez vous frapper éternellement la poitrine, en signe (inapproprié) de contrition, faîtes le sans moi!
Quant aux "ventes" à l'étalage, de (faux) produits de luxe, qui enlaidissent gravement Venise, et soi-dit en passant, portent un tort considérable à nos propres intérêts économiques, il ne faudrait pas grand-chose pour y mettre dignement un terme, si les "politiques" ne crevaient pas de trouille et prenaient leurs responsabilités.... - 16 avril, 2010
-
-
Oui, c'est vrai, on ne peut pas demander à Venise de résoudre les problèmes de l'Afrique :)))
ça serait quoi par exemple de mettre un terme dignement aux ventes à l'étalage de faux ?
Amicalement. - 16 avril, 2010
-
-
Oh! C'est tout simple: appliquer la Loi et règlements afférents, et saisir manu militari, outre de fortes amendes dissuasives, la "marchandise", pour porter un coup définitif au trafic lucratif qui enrichit ceux qui l'organisent (je peux vous dire qu'il ne s'agit pas des humbles sous-prolétaires qui sont exploités à cet effet), au détriment des salariés des entreprises.
(la théorie du "gâteau" est particulièrement obsolète et singulièrement....marxisante!).
Essayez d'aller étaler vos affaires, pour une vente "sauvage" sur un marché de Douala, Abidjan ou Casablanca: bon courage....si vous rentrez!
Le problème serait vite réglé, sur place.....
P.S. Grâce à "Anonyme", j'en profite pour corriger ma faute d'orthographe, je me suis mal relu "tous les maux" avec mes excuses aux...puristes (dont je suis)....qui n'aiment pas le "vilain langage"....lol.... - 16 avril, 2010
- marc.gualtieri a dit…
-
la théorie du gâteau est peut-être marxisante, posez plutôt la question à ceux qui vivent avec l'estomac vide..
Je parle juste d'un peu de bon sens et de partage.
Je vous rassure , je ne suis pas l'Abbé Pierre..
Ciao
Marco - 16 avril, 2010
-
-
Vous pouvez être rassuré, cher Marco, je ne vous ai nullement confondu avec l'Abbé Pierre, qui n'eût jamais écrit "à bientôt, pour le Grand Soir"....encore que....lol....du moins ne l'eût-il jamais appelé de ses vœux...peut-on espérer....
- 16 avril, 2010
-
-
j'ai vu les mêmes petits commerces de faux à Paris, il y en a de plus en plus... J'ai pensé à Venise quand je les ai vus...
Cette question est terriblement compliquée...
La pauvreté des pays pauvres déborde sur les pays riches, chacun doit vivre dans ce monde, comment répartir au mieux les richesses ?
Moi je n'ai pas les réponses, mais on pourrait mieux y réfléchir ?
Amicalement. - 16 avril, 2010
- Lorenzo a dit…
-
Bravo pour vos réflexions à tous. Voyez le film de Coline Serreau. Il reprend parfaitement tous vos arguments. Cher Marc, je suis entièrement d'accord avec vous et personne dans ces colonnes ne stigmatise les clandestins qui sont à chaque coin de Venise depuis quelques années. J'ai cité leur cas et tout ce que leur présence sous-entend pour montrer que Venise est un laboratoire. une avant-garde de ce qui se passe ou se passera ailleurs. sans jugement ou plutôt sans autre idée que mettre en avant toutes les problématiques de ce monde absurde où comme le souligne un des protagonistes du documentaire de Coline Serreau "les riches en ont marre des pauvres, c'est gênant les pauvres", boutade qui traduit bien ce monde à l'envers, tout ce qui pourrait nous amener vers le "grand soir" si personne ne réagit à son échelle, avec ses moyens et avant tout avec l'obsession de la justice et du respect. des hommes, de la nature, de notre patrimoine commun. Bon weekend à tous.
- 16 avril, 2010
- J F F GrandsLieux a dit…
-
Bravo Lorenzo pour cette belle page et pour votre invitation à voir ce film.
J'ai toute raison de faire confiance à Coline Serreau, que je surnomme "mon déclic" comprenne qui pourra ; elle fait partie des femmes de bien.
Dans l'attente de la communication que vous ferez à son sujet un jour... - 16 avril, 2010
- marc.gualtieri a dit…
-
Cher Lorenzo,
Merci pour votre intervention , toujours salutaire , le drame, c'est qu'une petite phrase humoristique "les pauvres c'est gênant..etc " peut être , ( et est malheureusement bien souvent le cas ) , prise au premier degré... Les pseudo boutades de certains hommes politiques Français et Italiens sont souvent prises (dites ???) pour enraciner un message , qui doit tous nous faire réagir.
On peut rire, ( je rajoute parler ), de tout , mais pas avec n'importe qui.( reprise approximative de l'irremplaçable Pierre Desproges).
Ciao
Marco - 17 avril, 2010
-
-
C'est sûr, cher Lorenzo, qu'affronter le réel, exige d'éviter les poses moralisantes, sous peine d'être vivement remis en question, ce qui n'est guère agréable.
Espérons, avant tout, que Venise saura demeurer la glorieuse cité qu'elle a toujours été et n'acceptera pas les compromis vers le bas et le laid. N'est-ce pas, au fond, votre plus important message?
Bon week-end à vous aussi, - 17 avril, 2010
-
-
Parles, paroles, paroles, vous savez très bien que Venise n'est plus du tout la glorieuse cité... qu'elle a été, mais il n'est pas interdit de rêver... Elle acceptera comme tout le monde de l'argent, les transformations qu'on lui commandera...Pour servir ses exploiteurs... Ainsi va la mondialisation...
Amicalement. - 18 avril, 2010
-
-
Elle serait une sorte de....péripatéticienne planétaire des Temps Modernes, alors???
Décidément, j'en aurais appris des vertes et des pas mûres, à l'occasion de ce billet, y compris les inepties et contre-vérités historiques!
Non! Je ne me La représente pas ainsi, ni que mondialisation rime forcément avec enlaidissement et reniement de soi-même,
Cordialement,
P.S. Je ne considère pas non plus que ce soit rendre service à ces humbles prolétaires africains, que je respecte, que de les laisser entre les mains des trafiquants (dont on serait bien étonné, soit dit en passant, de l'identité des vrais commanditaires), ce qui relève d'une curieuse conception à quatre sous, frelatée en un mot, de la Charité chrétienne. - 18 avril, 2010
25 mars 2010
Bonheur tranquille
J'aime ces petits moments paisibles qui sont autant de rites pour commencer une nouvelle journée. Que ce soit ici, dans notre maison du Cotentin ou bien à Venise, les premiers geste du matin déterminent la manière d'appréhender les évènements des heures à venir. Le thé brûlant, les biscuits, et l'émission de Chris Evans à la BBC (miraculeux internet !), le chat qui ronronne, une patte posée sur mon épaule (toujours l'écuelle de lait !), le soleil qui fait danser les particules de poussière devant la fenêtre, tout est bonheur. Un de ces petits bonheurs qui n'ont l'air de rien, mais nous aident à survivre, vous ne trouvez-pas ? La pression des images, l'omnipotence des modes, et la tension qui règne dans nos vies d'occidentaux pressés et surmenés, tout concourt à nous éloigner de ces plaisirs simples qui sont pourtant le sel de la vie. Chaque matin après tout, est le premier de nos derniers jours... L'homme moderne a tendance à l'oublier.
4 commentaires:
- J F F GrandsLieux a dit…
-
Oui, l'arrivée du printemps est un vrai miracle. Un appel au plaisir présent.
Bonne journée à vous aussi, Lorenzo !
PS Finalement le chat a-t-il eu sa jatte de lait ? - 25 mars, 2010
- maite a dit…
- Mes journées sont faites de tas de petits bonheurs, ce qui constitue à eux seuls "Le Bonheur" ...A presto !
- 25 mars, 2010
- Anne a dit…
-
Merci beaucoup pour ce beau texte, Lorenzo. Vous avez raison et
j'ajouterai que le soir est important également, en l'envisageant non
pas comme la journée qui se termine, mais comme le début d'un nouveau
moment à rendre agréable et à apprécier dans sa douceur.
Anne - 25 mars, 2010
- NicoleA a dit…
-
Une philosophie de la vie qui est assez proche de la mienne , celle des
"petits bonheurs de chaque jour ", comme celui de faire le tour du
jardin au printemps pour voir la nature reprendre vie , pouvoir à
nouveau déjeuner sur la terrasse ( et l'éte flaner au petit dejeuner ) .
Merci aussi de parler du temps du Carême et de Pâques qui le suit
...notre culture européenne enfouie , oubliée , ringardisée !
Bonnes fêtes pascales et bon printemps Lorenzo !Et merci pour la qualté de vos articles ! - 02 avril, 2010
20 février 2010
COUPS DE CŒUR N°39
Pinacothèque Querini Stampalia
Calle Larga Santa Maria Formosa, Castello 5252, Venise.
Fermé le lundi.
......
Venice Baroque Orchestra
"Elle habite une petite ville tristouille et marronnasse d'Australie. Lui vit à New York la noire, où tout le monde fait la gueule, même la statue de la Liberté. Elle vit avec des parents barges (père empailleur, mère klepto et alcoolo : le sherry, y a que ça de vrai !). Lui est seul ou presque : est-ce que ça compte, un ami invisible qui se taille quand bon lui semble, un chat borgne et un poisson rouge - Henry, neuvième du nom, car il est arrivé des bricoles aux huit précédents... Mary est moche, Max est obèse. Elle a 8 ans et lui plus de 40. Sauf que tous les deux ressemblent à d'éternels enfants terrifiés, frustrés de tendresse et fous de chocolat... Ils reflètent si bien nos angoisses et nos chagrins, ces deux-là, qu'on oublierait presque qu'ils ne sont pas tout à fait humains. Car Mary et Max, comme leurs deux cent huit collègues, sont des créatures en pâte à modeler, issues de l'imaginaire mystérieux et tourmenté d'Adam Elliot. Après un moyen métrage acclamé, c'est son premier long, à ce jeune homme, dont on soupçonne qu'il ressemble peu ou prou à ses personnages (son père était clown-acrobate, éleveur de crevettes et quincaillier, et Adam dit avoir hérité de sa mère un tremblement physiologique...). D'un seul coup d'un seul, "Mary et Max" renvoie à leur médiocrité tous les films d'animation dont on (Hollywood !) nous abreuve : gros machins moralisateurs et neuneus. Au départ, la petite Mary trouve par hasard le nom de Max dans un annuaire. Max Horovitz, quel drôle de nom ! se dit-elle. Elle lui écrit. Il lui répond. Dès lors, durant près de vingt ans et sans se voir jamais, ils vont correspondre. Aussi perdus l'un que l'autre, et donc parfaitement comiques et pitoyables, ils vont affronter brouilles et retrouvailles, gaffes et regrets. De ces lettres pas vraiment roses, pas toujours drôles, la vie va surgir, avec son cortège d'espoirs entêtants et de désillusions féroces. Car Max, que chaque missive et chaque question de Mary plongent dans le désarroi (« Est-ce que tu connais des filles, Max ? » « Est-ce qu'on ne s'est jamais moqué de toi, Max ? »), va tout subir : l'emprisonnement, l'internement, les électrochocs et, même, incroyable, la chance : « Un débile gagne au Loto », titrera alors le journal... Mary, elle, grandit, se marie avec l'amour de sa vie - un Grec bégayant et, hélas, fan de Boy George -, devient, grâce à Max, la spécialiste mondiale des maladies nerveuses et des pathologies obsessionnelles, avant de renoncer brusquement à la gloire et de sombrer dans la dépression. La scène où - cernée par les sons inquiétants de "Que sera sera", interprété par Pink Martini, et ses photos de famille, qui tournoient autour d'elle comme des menaces - elle tente vraiment d'en finir est un moment de grâce absolue, un pur bonheur cinématographique et psychanalytique... Paradoxe: tout est drôle dans ce film sombre. Mais d'une drôlerie acide, grinçante, dénuée de guimauve. Car la moindre silhouette d'Adam Elliot provoque en nous un amusement attendri : Max et le pompon rouge posé sur sa kippa, mais aussi l'incroyable mère de Mary, avec ses grosses lèvres de vamp défraîchie, la vieille petite voisine ridée de Max, suffisamment miro pour faire bouillir le pauvre Henry IX dans son bocal. Sans oublier le psy - l'incroyablement moustachu Dr Hazelhoff - ni, au bas de l'immeuble de Max, son clodo détesté, rivalisant de formules inventives pour provoquer la pitié des passants indifférents... Loin de nous plomber, cet hymne aux solitaires, aux paumés, aux doux-dingues - nettement moins fous que les gens dits normaux, au demeurant - rassure : ouf, il existe donc encore, de par le monde, des créateurs aussi doués qu'Adam Elliot pour savoir peindre la misère humaine avec une telle ferveur et mêler aussi bien l'insolence à la magie... Car, dans le ciel au-dessus de la maison australienne de Mary, brille une lune à la Méliès. Et dans le New-York de Max, l'ombre fugitive d'Audrey Hepburn, échappée de "Diamants sur canapé", semble attendre le taxi qui la déposera, à l'aube, devant les vitrines de Tiffany's... Ce film est une merveille."
4 commentaires:
- Anne a dit…
-
La Fondation Querini-Stampalia est en effet un lieu important à visiter à Venise et prendre un café à l'issue de la visite est une bonne idée. Des concerts sont parfois organisés pendant l'été.
Anne - 20 février, 2010
- Michelaise a dit…
-
Toujours des moments délicieux que ceux qui suivent les expos, dans les cafeterias des musées, qui sont devenus un plus énorme... repos, occasion de reparler du musée, gourmandise, tout cela est une vraie valeur ajoutée en termes de souvenirs et de détente !!
- 20 février, 2010
-
-
Oui, Mary est Max est une merveille, moi qui eu la chance de le voir au cinéma cette semaine...je confirme, l'émotion vous prend à la gorge, des surprises à chaque lettre, des inventions linguistiques délicieuses, un esprit inventif, des personnages totalement hors du commun, on a tellement envie qu'ils soient heureux...pas un plan en trop, pas une parole déplacée, de grands esprits libres se rejoignent...superbe !
Au sortir de la salle je pleurais bien sûr, une œuvre singulière et forte, belle et profonde, bravo l'artiste ! Merci de l'enchantement.
C'est vrai que les cafétérias des musées sont de belles choses, mais quand j'ai déjà payé fort cher mon billet d'entrée, je me sauve en courant...au bistrot du coin... - 20 février, 2010
- VenetiaMicio a dit…
-
Effectivement, j'aime bien après une expo, une visite d'un musée, m'arrêter encore un peu dans le lieu...comme à la Fondation Querini,qui est un endroit très paisible, mais je ne reconnais pas le lieu à travers votre photo. J'imagine que depuis, il y a eu du changement,je me souviens d'un moment délicieux où j'avais pris une petite consommation à l'extérieur dans le charmant jardin de Carlo Scapa.
- 21 février, 2010
17 février 2010
Bobo Ferruzzi nous a quittés !
31 janvier 2010
Ces petits délices qui font du bien
- Aller pêcher les capparozzoli devant l’île de Poveglia comme le font les vénitiens depuis plus de mille ans.
- Manger de la polenta grillée au feu de bois en écoutant du jazz live au Paradiso Perduto.
- Se promener toute la nuit dans les rues désertes de la ville en écoutant du Vivaldi.
- Essayer de reconnaître de quel campanile provient le son des cloches qui sonnent à tour de rôle.
- Prendre le traghetto à l’aube pour aller au marché du Rialto.
- Aller sur la lagune en voguant à la vénitienne sur un sandolo.
- Se baigner à minuit sur les plages désertes du Lido de Malamocco.
- Voir surgir à l’horizon les montagnes enneigées comme si on y était.
- Grimper en haut du campanile de San Pietro où personne ne va jamais.
- Prendre le thé dans un palais sur le grand canal avec de vieilles comtesses vénitiennes.
- Goûter des fruits et des légumes provenant des jardins secrets de la Giudecca.
- Aller sous les combles de la Fenice et voir l'énorme pas de vis qui retient le lustre géant de la grande salle.
- Plonger du haut d'un pont du côté de la Giudecca ou à Cannaregio quand il fait très chaud en été et nager dans l'eau de la lagune.
- Faire la sieste l'été à l'ombre d'un arbre dans un jardin tranquille, un chat sur les genoux, en plein centre de Venise.