7 commentaires :
[perdus par Google en 2016]
VENISE,UN LIEU MA ANCHE UN VIAGGIO NELL'EUROPA CHE MI PIACE NOT THE ONE OF THE GLOBALIZATION MAIS CELLE DES NATIONS DES PEUPLES DES CULTURES, PATRIA DELLA DEMOCRAZIA DELLA FILOSOFIA DELLA STORIA LA REINE DES VILLES AU SEIN DE L'EUROPE REINE DU MONDE
Encore un charmant billet...Même chose à faire avec des tomates cerise pour un apéritif estival, délicieux ! A presto
ah oui cela doit être intéressant comme mélange de goûts.
Pourquoi ne pas aller sur geneanet (il y a d'autres sites de généalogie
mais avec geneanet on a accès à pas mal d'arbre gratuitement) si vous
connaissez l'origine géographique de ce CAB peut-être trouverez-vous
quelques détails le concernant, si tant est bien sûr, qu'un autre quidam
l'ait inclus dans son arbre !
Quant au raisin d'amour cela semble
succulent... par contre maïté, je ne vois pas trop comment l'appliquer
aux tomates cerises... avec un caramel aussi ?
Quand la tenue des estivants était élégante !!!
Je vais mettre sur mon blog la recette de ces tomates ; je suis en train de faire cuire des biscotti au poivre et aux amandes, si c'est bon, je mettrai aussi la recette - A presto
Tout cela est bien appétissant !
Vous me tentez ! Appétissant et bien plus séduisant que certains clients des tours operator...
Venise qui a le verre artistique léger comme l'air
J'aime tant vos billets. Votre fidèle discrète.
M.17
Vous avez tout fait raison, c'est la Venise au quotidien, celle qu'on aime, la vraie !
Merci Lorenzo, de nous offrir de si jolis messages quotidiens qui nous font aimer de + en + Venezia
Voir ma petite dédicace du jour
Merci pour ces photos pleines de délicatesse. Nous aimons Venise dans son quotidien poétique.
Anne
C'est Vittorio Baroni qu'il faut remercier !
Quel Plaisir de vous retrouver, vous et Venise après tous ces mois!! Merci, merci, à vous, à ceux que vous nous faites rencontrer et aux amoureux qui fréquentent votre site.
J'ai oublié d'ajouter que votre reportage est passionnant. Il est à
regretter que tous ces savoir-faire, ces apprentissages transmis tout au
long des temps , ces métiers d'art sont amenés à disparaitre, tout
cela pour des raisons uniquement d'argent, de rendement, de revenus.
Le
système se mord la queue, et il sera sans doute trop tard pour
renverser la vapeur si on ne se bouge pas. Souhaitons que nos artistes
en tout genre, si précieux, puissent relever la tête pour le plus grand
bonheur de nous tous.
Le premier message a disparu, ce qui rend le second un peu "strange". Qu'en était-il?
Les
petits carnets ont une dizaine de feuilles d'or, le format étant de
10x10. Le geste est délicat, il faut souvent utiliser le souffle pour
les décoller du support, beaucoup d'adresse, de précision.
La Porte-
Fausse dans le Vieux Nice a été restaurée sur un projet artistique de
Sarkis: marbres de Carrare, avec des veines superbes, et le plafond
recouvert de 14000 feuilles d'or.Maitre d'œuvre le petit frère!
Je mets quelques images dans les Idées, si cela vous intéresse.
Beau métier en vérité.
"Battre" de l'or, pour le soumettre aux
volontés de l'art, mais aussi pour le punir de rendre les hommes aussi
avides. Voilà un jeu de mot facile, pardonnez-moi.
Merci pour cette passionnante publication. Nous souhaitons tous que ces
traditions artisanales ne se perdent pas. C'est bien plus qu'un simple
travail, c'est une philosophie.
Anne
Je suis passée de nombreuses fois devant la maison "sucre d'orge", je pensais que c'était un petit musée ou une galerie d'anquités, surtout qu'il y a de temps en temps de belles expositions dans l'Eglise S.Stae. Je me souviens avoir vu des sculptures de Camille Claudel et de Renoir...mais je m'éloigne du sujet. Je souhaite que tous ces beaux et nobles métiers d'artistes puissent se transmettre encore longtemps
Lorenzo nous aurions pu nous y croiser il y a bien longtemps léchant une
glace du Cornet d'Amour ou dégustant un cannelé de chez Foulon,ou bien à
Notre Dame des Passes à la sortie de l'office, peut-être nos enfants
ont-ils fréquenté le même club Mickey ,que de souvenirs vous faites
remonter là et comme vous contez bien ces fins de journée sur le bassin
il me semble que j'y suis
Merci,merci
Cher Lorenzo, que vous parliez de Venise ou d'ailleurs, c'est toujours aussi beau. Encore une fois, Merci,de nous faire partager un lieu, tous ces petits riens avec vous !
Vous écrivez d'une manière si poétique! Merci pour cette page.
Anne
Que vous nous racontiez Venise ou le Bassin d'Arcachon,on vous suit et on rêve....C'est toujours avec plaisir! Et le Cotentin?
A bientôt
Merci de vos appréciations. Vous ne pouvez savoir combien elles sont importantes pour moi, me confirmant dans mes choix et mes refus.
J'ai grandi dans une maison perchée dans le Parc Péreire, et maman a dû la vendre... lorsqu'un jour j'ai vu celle que j'habite à présent, un coup au coeur, me sont revenues les mêmes images, les mêmes sensations... je l'ai achetée en une demie heure !! incroyable, je ne cherchais pas de maison, j'en avais une, pas de projet immobilier, mais coup de coeur, coup de souvenir !!! j'avais aussi la chance de pouvoir le faire ! Depuis je suis repassée au parc péreire pour revoir l'ancienne, celle de mon enfance, et je l'ai trouvée moins magique que mon souvenir me le disait !
Venise, si mystérieuse...
M.17
Merci pour toutes ces informations. Le premier livre me tente beaucoup.
Anne
Encore un moment de bonheur commun en tout bien tout honneur avec La reine des Lectrices, j'avais moi aussi beaucoup ri grâce à ce récit un peu loufoque,merci pour votre recette d'aubergines qui semble bien savoureuse
Merci à vous tous de rester de fidèles lecteurs (lectrices) !
Merci pour l'adresse du Bacaro! J'y passerai en septembre.
à bientôt
merci pour ce panier d'idées !
Bonjour Lorenzo,
Touché, j'ai été touché par votre gentil
commentaire posté sur mon blog. Surtout parce qu'il émane d'un vénitien
amoureux de sa ville et conscient des difficultés qui la tenaillent au
fil des ans.
Etre correspondant en Italie est un travail semé
d'embuches, "traiter" Venise une difficulté majeure, tant la cité pour
celui qui n'y habite pas est un piège, un repaire de clichés. Et c'est
toujours avec appréhension que je fais un reportage sur place.
Mais
la clé est peut être de se laisser porter et de l'aimer. Tout
simplement. Alors on touchera peut être l'essentiel et pour un
approfondissement, on goutera le plaisir de ses infinis détails grace à
un blog comme le votre dont je ne me lasse pas d'assurer la promotion.
A mon tour de vous retourner le compliment, sans aucun esprit d'échanges de services et avec la plus grande sincérité.
A bientot, je l'espère entre Venise et Bordeaux. Toute ma famille est dans le bordelais et le périgord.
Eric
A mon tour d'être touché par votre gentillesse.
Ce commentaire
est de ceux qui justifient mon "travail". Il prouve bien ce que je ne
cesse de dire après avoir écouter ou lu vos interventions, que vous êtes
de ceux, peu nombreux dans le monde des médias, qui comprennent
vraiment l'Italie et savent exercer leur métier avec exprit et hauteur
de vue.
N’'est-ce pas le rôle du journaliste que de présenter la
réalité comme elle est. Sans arrangement aucun. C’est ce que vous
faites. Avec rigueur et humour.
L'essentiel pour parler de Venise
n'est pas forcément le détail approfondi, mais le détachement et la
défiance envers les clichés qui arrangent tout le monde. Un peu comme
lorsque on salue quelqu'un : Au "comment allez-vous ?", l'usage veut
qu'on ne réponde jamais que par un "très bien et vous"… Il en va de
même avec l'idée qu'on se fait de Venise, au 20 heures, et dans les
dîners en ville : cela pue, il y a plein de pigeons, et la ville
s'enfonce… Parler d'autre chose peut paraître indécent.
Effectivement,
il faut s'être imprégné d'elle, pour comprendre la démarche
intellectuelle de Cacciari, la colère des vénitiens envers Rome, leur
lassitude devant la lente dégradation du quotidien, mais aussi
l’acharnement des 40xVenezia à inventer l’avenir...
Entre Venise, le bordelais et le Périgord, entre Rome et Paris, nous nous croiserons certainement très vite.
Bien à vous,
Lorenzo
"La Reine des lectrices"...voilà un livre un brin décalé comme je les aime!
Moment de lecture jubilatoire! Merci d'en avoir parlé!