VENISE,UN LIEU MA ANCHE UN VIAGGIO NELL'EUROPA CHE MI PIACE NOT THE ONE OF THE GLOBALIZATION MAIS CELLE DES NATIONS DES PEUPLES DES CULTURES, PATRIA DELLA DEMOCRAZIA DELLA FILOSOFIA DELLA STORIA LA REINE DES VILLES AU SEIN DE L'EUROPE REINE DU MONDE
06 octobre 2010
COUPS DE CŒUR (HORS SÉRIE 11) : le blog d'Antoine
26 septembre 2010
Félix et Fortunat, les héros de Chioggia
4 commentaires :
Michelaise a dit… Trop marrante la coïncidence... je faisais hier un article sur Fortunat mais pour expliquer le mien (de Fortunant) je ne suis pas allée à Chioggia mais à Poitiers (une sorte de mélange entre nom et prénom pour Venace Fortunat !). En tout cas, je suis ravie d'en avoir appris un peu plus sur ce saint peu commun...
26 septembre, 2010
J F F chemincompostelle a dit… Merci beaucoup. Cet article m'a énormément intéressé, j'avais et j'ai encore un certaine fascination pour Chioggia sans y être jamais allé. Sans doute à cause d'une photo représentant des bateaux de pêche à voile... Grâce à vous j'en sais plus. Bonne journée,
J F F
27 septembre, 2010
Anonyme a dit… C'est vrai, Chioggia a beaucoup changée, en seulement 10ans ; je me souviens de journées radieuses à flaner le long des quais en dégustant des tomates et des tramezzini achetés aux petits commerçants. Las, les vélomoteurs sont arrivés, pétaradant à n'en plus finir, puis les voitures. On peut toujours, heureusement, y déguster une délicieuse tasse de chocolat pour à peine plus d'un euro en face du marché aux poissons. Et puis, Chioggia, c'est le souvenir de Goldoni, et on y donne encore des représentations en plein air, comme en son temps. Et le dépaysement que procure le trajet pour s'y rendre depuis le Lido, est fabuleux.
Gabriella
27 septembre, 2010
Lorenzo a dit… Vous avez tout à fait raison Gabriela. Pour ma part, l'excursion au départ de Venise quand j'ai la chance d'être avec des amis possédant une barque est un délice. Ce qui est intéressant en fait c'est de voir ce que Venise serait devenue si la circulation automobile y était possible. Cela conforte bien l'idée que la Sérénissime, même décatie et envahie de touristes, se situe "hors de la durée", il y a en elle quelque chose qui crée un effet d'éternité et ce quelque chose n'est-ce pas justement la pleine et authentique lisibilité du passé sans - mais pour combien de temps encore - qu'il s'agisse d'une lecture figée derrière les vitrines trop lisses d'un musée ? Chioggia permet de prendre conscience de cela me semble-t-il.
27 septembre, 2010
24 septembre 2010
COUPS DE CŒUR (HORS SÉRIE 10) : Pelin Esmer
Film de Pelin Esmer
Turquie (2009).
En pénétrant dans l'appartement, le voisin est abasourdi par ce qu'il ne considère que comme du fouillis. Pour aller jusqu'à la fuite, il faut se frayer un chemin entre des piles de livres et de journaux, des cartons remplis d'affaires. Comme le voisin, le spectateur se demande un instant si le très attachant Mithat Bey n'est pas une sorte de maniaque un peu obsessionnel. On le voit par exemple noter le nombre de jours qu'a mis un de ses nombreux réveils pour avancer de quelques minutes, ou bien on assiste au soin très précis qu'il met à découper et coller une étiquette sur un carton protégé par un plastique où sont déjà posés de nombreuses autres étiquettes... Mais non, Mithat Bey est seulement un passionné, amoureux des choses et très "réglo" avec elles. C'est un gardien. Il les maintient en vie et le portent hors du temps. Le personnage est émouvant, attendrissant mais jamais ridicule. Il va son chemin et s'achemine vers sa fin. Mais le sujet n'est pas là. Le concierge de l'immeuble, un jeune père de famille venu de la campagne, va aider le vieux monsieur à alléger son appartement, suite à la visite des services de l'hygiène qui prétendent que tout ce fatras pourrait faire s'écrouler les planchers. D'abord réticent, je jeune homme va faire pour le vieux monsieur, les courses que celui-ci ne peut plus faire, puisqu'il attend le retour de ces messieurs de l'hygiène. Peu à peu le concierge va découvrir avec ses traversées d'Istanbul, une indépendance nouvelle pour lui. Il va faire ce qu'on lui demande, mais s'achemine aussi vers une vie nouvelle. Il veut faire revenir sa femme et sa fille, parties parce que la loge était trop humide pour l'enfant... La question qui se pose tout au long du film, n'est pas la fuite du temps. C'est plutôt l'envie de sauvegarder "hier, aujourd'hui et demain", comme l'explique la réalisatrice. C'est une question de sauvegarde qui s'exprime aussi par l'excellent second rôle, Ali interprété par Nejat Esmer, le concierge, quand le neveu du vieillard pense plutôt au profit que tous pourraient retirer de la vente de la collection... Ali sera celui qui perpétuera "l'art" du collectionneur, même au prix de quelques forfanteries plutôt liées aux nécessités de la vie qu'à un désir de nuire, selon la réalisatrice. Mais ne racontons pas tout le film.
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3 commentaires:
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Et en plus de tous vos autres dons, vous parlez turc?
- 26 septembre, 2010
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PS C'est moi qui vous ai dit le bien que je pensais de Oncle Bonmee l'autre jour, je ne voulais pas signer "anonyme". Mais je partage votre aversion pour Tim Burton - dont je me refuse à voir les films.Nous serons à Venise du 3 au 9 octobre, si nous vous croisons ( à la librairie française?) nous vous reconnaîtrons peut-être? Nous logeons sur la place de l'Arsenale au dessus du petit café et allons inaugurer la maison qu'une amie a restaurée, à Burano, Terranova, face à la lagune (bien qu'il y ait le chantier pour le tout- à- l'égoût juste sous ses fenêtres!). Si vous passez par là le 8 au soir...C'est aussi une vos " lectrices" Et à quand votre livre?
- 26 septembre, 2010
- Lorenzo a dit…
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Non du turc, je ne connais que quelques mots hélas. le film sur If Télévision était sous-titré en français. Cela étant, c'est vrai que cette langue est belle, moins gutturale que l'arabe. Mais c'était la langue des envahisseurs de Byzance, les ennemis de Venise. Ce fut la langue de l'administration où mon grand-père travaillait pour le compte de l'Italie jusqu'à l'arrivée d'Atta Türk qui bouta tous les européens de l'administration. Une histoire de famille donc...
- 26 septembre, 2010
03 septembre 2010
Gourmandise pour finir l'été en douceur : Succès d'Amalfi
Succès d'Amalfi.
La préparation :
Battre les blancs en neige ferme en mettant dans le saladier une pincée de sel et une autre de sucre. Ajouter ensuite 50 grammes de sucre glace et les noisettes. Verser la pâte obtenue sur une plaque recouverte de papier sulfurisé. Faire cuire à 140°. La préparation doit brunir un peu mais ne pas trop sécher. sortir du four et laisser refroidir.
Pendant que la pâte refroidit, passer la ricotta au chinois (ou au tamis si vous en possédez un) et la verser dans un saladier, y ajouter 100 grammes de sucre glace et le fromage blanc. Faire fondre la gélatine, la mélanger à la préparation et ajouter en dernier les poires cuites au sirop. Bien mélanger.
26 août 2010
COUPS DE CŒUR (HORS SÉRIE 9) : Quand une (grande) citrouille devient un ravissant appartement
San Polo, 2510
Calle Donà o del Spezier
04 juillet 2010
Bobo Ferruzzi, notre ami
28 juin 2010
"C'était pareil de notre temps"...
c'était pareil de notre temps, c'était pareil de notre temps".
En tout cas, au-delà de la polémique, cette image en noir et blanc est aujourd'hui pleine de poésie. Quatre-vingts ans plutôt, elle choquait autant qu'elle attirait. Déjà...
27 juin 2010
COUPS DE CŒUR N°40
Didon & Enée
Ensemble MusicAEterna
dirigé par Teodor Currentzis
Il arrive parfois que le hasard mette sur notre chemin quelque chose ou quelqu'un, qui va transformer en un instant ce que nous sommes et nous oblige à une sérieuse remis en question. Je croyais connaître parfaitement cette œuvre de Purcell. Pourtant à l'écoute de cet enregistrement, je dois reconnaître que je n'y avais rien compris. Ou du moins, j'en avais une idée tellement superficielle et limitée. Trop d'approches conventionnelle et poussives finalement... Dès le premier lamento, quand Didon, reine de Carthage chante cette mortelle blessure d'amour qui l'atteint devant le départ d'Enée le héros troyen. Cette densité ne retombe pas un instant dans l'interprétation magistrale de cet ensemble venu du froid. L'aria final est tout simplement bouleversant ; on quitte les rives de la Tamise pour retrouver toute la faconde méditerranéenne, sans jamais rien de vulgaire ni de lourd. Une grande émotion venue du froid. Car les chœurs, les musiciens et le jeune chef grec, Teodor Currentzis, travaillent en Sibérie... Formé au conservatoire de Saint-Pétersbourg, dans la classe d'Ilya Musin, il est depuis quelques années responsable musical de l'Opéra de Novossibirsk. Cet adepte du répertoire baroque défend bec et ongles son interprétation sur instruments d'époque. Pourtant rien dans son style ne s'apparente à la tradition des baroqueux comme John Eliot Gardiner ou William Christie. Enregistré dans un pays où il fait parfois plus de 25° en dessous de zéro, le chef grec "souffle le brûlant et le glacial sur un opéra voué d'ordinaire aux prudences et aux bienséances de l'élégie précieuse. Tandis que les instruments du continuo troquent le soyeux des draperies de cour pour la rugosité des bures de pénitents, les sorcières du deuxième acte semble surgir des sabbats shakespeariens du royaume de Macbeth, la dernière scène se figer dans un engourdissement létal." comme le soulignait Gilles Macassar dans la critique qu'il fit dans Télérama, lors de sa sortie du disque en 2008. Ardeur et audace sont les adjectifs qui reviennent le plus souvent à l'audition de ce disque. Simone Kermes, Deborah York, Dimitris Tiliakos, Oleg Ryabet et les New Siberian Singers sont tout simplement excellents, l'orchestre époustouflant. Mes enfants pourtant souvent rétifs à la musique ancienne qu'ils entendent peut-être trop souvent quand ils sont avec moi, ont trouvé cet opéra "décoiffant" (sic), c'est pour dire !...
Give me that slow knowing smile
Pas vraiment comme les précédents albums bossa-nova jazz qui ont fait son succès et sa réputation en France, ce nouveau disque de la chanteuse suédoise, est un petit bijou très inspiré, et extrêmement raffiné. Entièrement écrit et composé par elle-même, il a été produit par Mattias Blomdahl. Ce disque est un petit miracle de délicatesse et d'authenticité qui a révélé cette grande chanteuse à la voix vraiment habitée et qui semble gagner en profondeur et en ferveur d'année en année. "Give Me That Slow Knowing Smile" emporte l'auditeur hors du temps avec des réminiscences de l'enfance, des sonorités très chaudes, avec des références à la pop des Beatles. Les chœurs sont très aériens aussi surprenants que réussis. Bref, un grand moment e plaisir que nous écoutons en boucle à la maison.
Robert Coover
Pinocchio à Venise
Le Seuil, Littérature étrangère.
1996.
Ristorante Al Giardinetto di Severino
Ruga Giuffa 4928
Castello
Fermé le Jeudi.
Tél.: 041 528 53 32
Severino Bastianello et son fils Lucà sont les heureux gestionnaires de cette institution qui a fêté l'année dernière ses 60 ans d'existence. Ce n'est pas le plus original mais c'est en tout cas l'un des quelques restaurants vénitiens traditionnels où on sait ne risquer jamais aucune mauvaise surprise. Plusieurs associations de fines bouches l'ont d'ailleurs souvent couronné au cours des années. Situé à Castello, dans le magnifique Palazzo Zorzi. Aucune surprise donc si ce n'est l'accueil toujours avenant sans obséquiosité, la table bien mise dans la grande salle ornée de peintures contemporaines ou dans le délicieux jardin intérieur où il est vraiment agréable de déjeuner. Cuisine vénitienne traditionnelle donc, à base de produits locaux toujours frais. Plats typiques, bons desserts maison et carte des vins bien choisie. Il faut y aller entre amis, comme les vénitiens qui y vont pour fêter un évènement particulier. Chaque année en octobre, c'est dans ce restaurant que se déroule le Goncourt de la peinture italienne, le Premio Amici Ruga Giuffa qui attire des peintres de toute la péninsule. Il est prudent de réserver surtout en fin de semaine. Ce n'est pas donné....
Recioto di Soave
Vignobles Balestri ValdaVia Monti, 44
37038 Soave (Vérone)
Vivre à Bordeaux, à proximité de certains des plus grands vins du monde ne m'empêche pas d'apprécier ces vins qui peu à peu se font connaître du monde. Si en matière de blancs moelleux, nos emportent la palme, avec à leur tête le grandiose SauternesYquem où opère depuis quelques années mon ami Pierre Lurton, il existe en Italie des blancs doux de grande qualité. C'est le cas de ce Recioto né sur les collines des environs de Vérone, où se concocte ces Soave qu'on boit si facilement sans jamais avoir mal à la tête. Vinifié par Guido Rizzotto, ce joyau est fait à 100% de Garganega, une variété de vigne très ancienne sont on ne vendange que les grappes les plus hautes, qui sont ensuite ensuite mises à sécher pendant la moitié d'une année, avant d'être pressées en mars. Commence alors le lent et magique processus de la fermentation en barriques suivi par six mois de maturation dans de vieux fûts puis, après la mise en bouteilles, trois années de repos avant de se retrouver dans nos verres. Cela donne un nectar à la belle couleur jaune d'or aux arômes intenses de pêche juteuse et fruitée comme on en déguste au plus fort de l'été. Aux premières gorgées, s'ajoute un goût d'amandes douce à peine sortie de sa cosse... Somptueux avec le fromage, mais aussi sur le Foie Gras. Nous le buvons en apéritif mais aussi au dessert. Une bénédiction. On le trouve en France, comme en Belgique chez les meilleurs cavistes.
4 commentaires:
- maite a dit…
- Depuis quelques temps, que de polémiques sur votre blog et quel dommage !
Je vous suis toujours fidèlement depuis bien longtemps, j'ai été de
celles qui vous a incité à écrire un livre et je vous félicite d'avoir
mené à bien ce projet.
Je vous souhaite de très bonnes vacances, a presto ! -
28 juin, 2010
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- merci Maïté, bonnes vacances à vous aussi. Ces "polémiques" sont la preuve que Tramezzinimag vit. On ne peut prétendre faire l'unanimité à chaque instant. La liberté d'opinion est une valeur fondamentale qu'il faut défendre même quand on en fait soi-même les frais, ne trouvez-vous pas ?
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28 juin, 2010
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- Sono davvero molto felice che ti sia piaciuto il nostro Recioto! :)
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28 juin, 2010
- Enitram a dit…
- Bien, ces coups de coeur me plaisent bien
Bonnes vacances!!!! - 29 juin, 2010
25 avril 2010
COUPS DE CŒUR (HORS SÉRIE 8) : "Get Out" , un superbe court-métrage d'animation
En attendant, laissez-moi vous faire découvrir un petit bijou de film d'animation qui commence de se tailler une jolie réputation sur la toile. Il ne faut rien en dire de plus. C'est en tout cas un beau travail réalisé par un groupe d'étudiants de l'ESMA, Charlotte BOISSON, Julien FOURVEL, Pascal HAN-KWAN, Tristan REINARZ, Fanny ROCHE, vite remarqué, ce court-métrage a été primé dans de nombreux festivals. mais c'est déjà en dire trop (et ce n'est en aucune manière de la publicité !).
11 commentaires:
- Anonyme a dit…
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Pour aimer Venise, on n'en est pas moins curieux de tout ce qui est susceptible de nous plaire et de nous émerveiller....ce petit film que vous nous proposez est magnifique, tout simplement....il nous tient en haleine ...les questions se bousculent jusqu'à la fin..inattendue...mais si belle..merci Lorenzo...et bravo aux réalisateurs...c'est un tout grand moment...
et vous, Lorenzo, continuez de nous parler de tout ce qui vous touche...cela nous enrichit...
Danielle ( carnets vénitiens) - 25 avril, 2010
- Anne a dit…
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Lorenzo, c'est à vous et non à nous de décider du contenu de votre blog. Personnellement, j'aime bien les débats d'idées et, si je vous ai taquiné quelquefois (ainsi que Thierry), j'espère ne pas vous avoir blessé, ce n'était pas mon intention. En tout cas, un blog vit aussi avec un peu de contradiction qui va motiver des échanges. Votre blog est justement ouvert à ces échanges et je crois que nous sommes nombreux à apprécier cette qualité.
Bon dimanche et merci pour le film d'animation.
Anne - 25 avril, 2010
- Lorenzo a dit…
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merci de toutes ces considérations. Ce blog ne vit et n'évolue que par ses lecteurs. Rien de ce qui a pu être écrit jusqu'ici ne m'a blessé, soyez rassurée Anne. Merci pour cette délicate prévenance. A mon tour, j'espère que mes réponses aux commentaires laissés ne sont pas perçus négativement ! Bonne fin de dimanche à tous.
- 25 avril, 2010
- venise a dit…
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Merci à vous de nous faire découvrir ce coup de cœur. Je trouve personnellement que ce blog est constitué de tout ce que vous aimez ou défendez, Venise se place en tête de liste, mais votre vie ailleurs a aussi sa place, et j'aime en découvrir des bribes ! alors surtout n'arrêtez pas et ne vous censurez aucunement :)
- 25 avril, 2010
- marc.gualtieri a dit…
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Bonsoir Lorenzo,
Quelques clandestins qui vendent à la sauvette de faux sacs de marques à Venise, permettent à chacun, ici , de donner son avis sur la façon de gérer notre bonne vieille planète.
D'une pierre deux coups , en partant d'articles bien ciblés sur Venise , vous pourrez satisfaire les amateurs purs et durs du village " Venise " , mais aussi ceux qui aiment discourir sur le village mondial...
Ciao
Marco
PS: personne ne m'a souhaité joyeuse fête hier..
Je vous l'accorde , je suis un peu moins connu.. - 26 avril, 2010
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Désolé Tramezzinimag aurait du y penser ! Avec 24 heures de retard ! BONNE FÊTE Auguri a te Marco !
- 26 avril, 2010
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J'ai adoré cette vidéo et je n'ai deviné ce qui se tramait que quelques images avant la fin.
MARISOL - 27 avril, 2010
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Pauvre Marco! Voilà ce que c'est que de porter un tel prénom: nous sommes tous tellement focalisés sur Venise que nous en oublions qu'il y a d'autres Marco que le saint patron de la ville! Alors bonne fête avec quelque retard.
Quant à vos scrupules Lorenzo, je crois qu'ils n'ont pas lieu d'être, et d'ailleurs c'est parfois des billets sur Venise qui sont à l'origine de polémiques. Alors, continuez sans crainte à vous faire plaisir, nous sommes assez grands pour ne pas lire ce qui ne nous intéresse pas. Et puis, ne parler que de Venise, ne serait-ce pas être dans une sorte de mauvais mimétisme avec cette ville que nous aimons tous tant et qui se meurt, ou qui en court le risque à tout le moins, à se figer ainsi sur elle-même?
PS: ce petit film est un bijou! - 27 avril, 2010
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Merci pour vos bons voeux ( c'ètait tout de même de humour ), ..
ciao
Marco ( San ) - 27 avril, 2010
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Aucun problème, Anne, vos taquineries sur mes goûts, en matière d'Art Contemporain, ne m'ont jamais choqué, car je connais votre bienveillance naturelle, qui transparaît dans chacune de vos interventions, toujours plaisantes et optimistes et qui sont l'un des plaisirs de la consultation de Tramezzinimag; encore que je vous étonnerais peut-être par certains de mes coup-de-coeurs mais les vaches tronçonnées dans des bacs de formol, de Monsieur Damien Hirst, très peu pour moi, je l'avoue! (j'espère que ce n'est pas vraiment à cela que l'on va initier les petits vénitiens, les pauvres! eux dont les aïeux ont bâti l'une des merveilles du monde, dans ce projet relaté dans un précédent billet du blog, il y a un mois environ, je crois.
Merci Lorenzo, le film que vous nous faîtes connaître est épatant, et pour répondre à votre question, il semble que nous soyons toutes et tous d'accord, pour vous prier de continuer tel que vous êtes. En fait, vos pérégrinations sont un bonheur pour vos lecteurs, même s'il y aurait parfois matière à polémiquer avec vous-même, sur tel ou tel aspect des choses....mais se permet-on une remarque, fut-elle très amicale, à un hôte aussi délicieux et je ne dispose pas de votre mail privé....c'est peut-être mieux comme ça, d'ailleurs....lol
Impossible d'éviter le débat d'idées: le blog purement touristique, sur Venise, existe déjà, fort bien fait au demeurant, par vos amis...mais il faut une certaine empathie entre intervenants, au delà des clivages bien naturels, pour maintenir ouvert le débat, sur un blog culturel tel que le vôtre, qui peut en être un ferment extraordinaire, soit-dit en passant.
Hélas...la Pensée Unique, accompagnées de ses deux sœurs jumelles, j'ai nommé Ratiocination et Moralisation, ont vite fait de vous envoyer en camp de concentration (tout virtuel, Dieu soit loué!) parce que vous avez eu le malheur de prononcer un mot décrété tabou, par les suiveurs (attardés) du Totalitarisme Intellectuel et voyez-vous, Lorenzo, il n'y a rien qui fâche plus les "Grandes" Consciences Vertueuses (ou prétendues telles), dont le seul vrai but est de vous faire taire, que de leur mettre le nez dans....la Réalité! Dur-Dur la Réalité, quand on vit en prenant perpétuellement de Grands Airs (creux)..
à + - 01 mai, 2010
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merci à tous pour ces points de vue, ces avis et ces compliments. Cinq ans à discourir au fil des billets sur Venise, celle que j'aime, celle que j'ai connu et celle d'aujourd'hui voire de demain, cela amène un peu de lassitude et ainsi à se poser des questions sur l'utilité, ou plutôt la viabilité d'un discours forcément décalé. Rassurez-vous, en dépit de la tentation -récurrente- de tout arrêter, je me sens investi d'une (modeste) mission : présenter la Venise vraie et authentique et sa défense bec et ongles devant toutes les attaques dont elle fait l'objet, parler d'elle comme d'un être aimé, et continuer à déballer certains de mes souvenirs, comme un hommage.
- 10 mai, 2010