VENISE,UN LIEU MA ANCHE UN VIAGGIO NELL'EUROPA CHE MI PIACE NOT THE ONE OF THE GLOBALIZATION MAIS CELLE DES NATIONS DES PEUPLES DES CULTURES, PATRIA DELLA DEMOCRAZIA DELLA FILOSOFIA DELLA STORIA LA REINE DES VILLES AU SEIN DE L'EUROPE REINE DU MONDE
11 janvier 2008
I walked, he danced...
10 janvier 2008
Jubilatoire indiscrétion
4 commentaires:
- anita a dit…
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....un régal ! quel plaisir de vous découvrir : finesse , humour , sensibilité et ...Venise !
Anita - 13 janvier, 2008
- anita a dit…
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quelle chance ! je vous ai découvert hier ... il me reste 36 mois de blogs à déguster !!!
Anita - 13 janvier, 2008
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Jalouse.. je suis...
- 25 janvier, 2008
- géraud a dit…
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Ouh, la Toletta ! très bel endroit.
- 23 février, 2008
09 janvier 2008
L'hiver fait une trêve
1 commentaire:
- anita a dit…
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Bonjour Lorenzo ! Comme c'est bon de s'extraire des paillettes et autres mensonges plus ou moins dissimulés !
Je vous lis , j'admire la photo et ...je frissonne . J'y serai bientôt , une fois de plus , en apesanteur , grisée , heureuse seule ou accompagnée ... Et puis je rentrerai chez moi en manque bien sûr , avec un seul désir : y retourner dès que possible !
Y habitez-vous ?
Merci
Anita - 11 janvier, 2008
08 janvier 2008
Avant l'aube
2 commentaires:
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Cher Lorenzo,
Je vous souhaite une excellente année vénitienne et forme le voeu que les amoureux de cette cité découvrent (comme cela m'est arrivé il y a quelque temps) votre délicieux "blog". Qu'il est doux, en effet, de retrouver à travers les images et les mots, cette Venise que nous aimons. Ce rendez-vous quotidien avec elle est un indispensable moment de bonheur.
Jean-Marie Gallina - 09 janvier, 2008
- Tietie007 a dit…
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Je me souviendrais toute ma vie, de notre arrivée à Venise, en vaporetto, que nous avions pris dans la zone des parkings. C'était au crépuscule, et les coupoles et campaniles se dessinaient sous le ciel bas et lourd !
Bonne année vénitienne !
http://tietie007.over-blog.com - 12 janvier, 2008
07 janvier 2008
Sur les pas de Consuelo, Venise 1745
Consuelo est le roman le plus important de l’œuvre de George Sand. Conçu au moment où l'écrivain fit la connaissance de Pauline Viardot, la sœur de la Malibran, et comme elle une grande cantatrice de l'époque romantique, c'est un ouvrage malheureusement méconnu en dépit de l'admiration que lui portait le philosophe Alain. Pierre Barrat consacre cinq émissions du «Matin de Musiciens» sur France Musique, à un récit librement adapté du roman de George Sand.
Voici un extrait du Propos sur Consuelo que le philosophe compare au Wilhelm Meister de Goethe :
06 janvier 2008
La Giudecca par un matin d'hiver
05 janvier 2008
La beauté de Venise se partage et se multiplie, chacun en a sa part et tous l'ont en entie
1 commentaire:
Ti aspetto...
2 commentaires :
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Beau post et sympathique photo.A-t-elle fini par arriver ? Bonne année Lorenzo votre blog est devenu comme un ami au fil des mois !
- 07 janvier, 2008
- Lorenzo a dit…
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Oh oui bien sûr, mais nous nous sommes souvent croisés, longtemps manqués, toujours de peu, bêtement... Jusqu'au jour où ses pas retentirent dans l'escalier. Merci Nicole, vos mots me touchent en justifiant ce travail quotidien depuis bientôt quatre ans !
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08 janvier, 2008
04 janvier 2008
COUPS DE CŒUR N°22
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Sylvie Mamy,
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2 commentaires :
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- oui c'est un très beau disque et ces sonates sont très belles aussi. Je découvre votre blog et je suis émerveillée par tout ce travail cette érudition cette passion je crois que je vais revenir souvent vous lir.
- 04 janvier, 2008
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- Merci pour ces adresses en or!!!
- 06 janvier, 2008
03 janvier 2008
Après le baiser, les vandales
Parmi les 90.000 personnes massées sur la Piazza le soir du 31, il y avait de nombreux couples, de tous âges. Beaucoup de familles. Des gens heureux de se rassembler là et de participer au décompte des secondes qui séparait Venise et le monde de la nouvelle année, porteuse d'espoir et du mystère de l'inconnu. Mais il y avait aussi des bandes de vauriens, imbibés de bière et de drogue, excités, chahuteurs. Jusqu'à minuit, leur présence pouvait agacer mais tout restait supportable. C'est après les douze coups de minuit, lorsque la foule a commencé à se retirer, que ces bandes sont entrées en transe. Des centaines de bouteilles et de verres ont alors explosé sur les dalles de la place, des tags sont venus décorer les murs et les rideaux des magasins, des vitres ont été brisées. Comme à l'époque du concert des Pink Floyds, ces gamins avinés se soulageaient contre les murs, sous les arcades. Le tout dans un vacarme de fin du monde. Une horde de barbares. Ceux-là pourtant n'arrivaient pas des steppes du nord, ils n'étaient pas guidés par les employés des agences voyages nippones ou australiennes. Ils venaient de Mestre, de Castelfranco, de Mogliano, de Padoue ou de Vérone peut-être. Ce n'étaient que des voyous excités comme après un match de foot... La police veillait. Les choses auraient pu mal tourner. Ils ont été peu à peu évacués vers la gare et la piazzale Roma où les attendaient les trains et les bus supplémentaires.
Les traces de leur passage sont consternantes comme est consternant ce besoin de détruire, de salir, de casser. en cela, les jeunes banlieusards vénitiens ne sont pas différents de leurs homologues des autres cités du monde. Ils extériorisent leur mal-être certainement, leur angoisse d'un avenir terne et bouché, leurs peurs mais aussi le refus inconscient de ce monde vulgaire où ils seront traités pour la plupart comme des bêtes de somme. J'ai vécu cinq longues années à Venise. J'ai croisé des bandes jeunes, bruyants, souvent ivres. Des fêtards. Jamais agressifs. Vulgaires le plus souvent, mais jamais violents. Il n'y avait pas de tags et autres graffitis sur les murs et à Venise on ne risquait rien la nuit. La peur n'existait que dans la tête des enfants que les ruelles sombres et le silence pouvaient impressionner.
Comment les enfants de ces jeunes gens sont-ils devenus ces tifosi excités, jeunes barbares violents et désespérés ? Je vais vous le dire : un monde sans espérance, sans foi ni transcendance, un monde obnubilé par l'avoir et le paraître, par la consommation et le superflu. Et qui a laissé ce monde se développer ainsi, à Venise comme ailleurs ? Ces barbus excentriques qui faisaient le voyage en Inde dans des vapeurs de haschich, rejetaient l'hypocrite société bourgeoise et scandaient le fameux Peace and Love. Leurs enfants ont grandi dans une totale liberté, dans l'aisance et le confort, sans règle ni limite. Aujourd'hui dans un monde redevenu ce qu'il a toujours été, difficile, incertain, ils sont perdus et deviennent méchants devant ce paradis promis absent de leur quotidien. Des enfants gâtés qui n'ont plus assez de jouets... Le virtuel est leur univers, la violence leur langage et on ne peut leur parler ni de beauté ni d'esthétique. Ils ne comprennent pas. Cela n'évoque chez les moins atteints que les formes de leurs copines. Et encore. Pour les autres, la référence "esthétique" sera la dernière console de jeux japonaise, la nouvelle moto ou une marque de chaussures à la mode... A Venise, plus qu'ailleurs, ils sont à plaindre. La plupart n'ont pas d'avenir et ce décor magistral qui enchanta depuis toujours ceux d'avant eux, ils le haïssent et s'y ennuient. Ils s'en prennent à lui en cherchant à enlaidir ce qui est beau, à souiller ce qui est pure merveille née de la foi et de l'amour des hommes, leurs ancêtres...
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8 commentaires:
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- c'est incroyable et pitoyable
- 03 janvier, 2008
- celeste a dit…
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j'avais fait un constat du même genre (en moins complet) sur les
agissements d'une certaine partie de la jeunesse bolognaise; peut-être
l'avez-vous lu, sinon je vous mets le lien:
http://www.celestissima.org/bologne-precarite-et-decadence/
en 8 ans j'ai vu la ville changer, devenir triste, lourde.Comme si l'avenir n'existait pas. - 03 janvier, 2008
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Quelle tristesse pour tous ceux qui aiment etrespectent Venise et
souhaite y trouver ce havre de paix et de raffinement que l'on trouve
nulle part ailleurs!!!!
pourvu que la vraie vie de venise soit sauvegardée le plus longtemps possible car si cela disparait c'est un bout d'humanité qui se meurt: - 03 janvier, 2008
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Navrant !
C'est l'idée qui me vient à l'esprit à la vue de la photo du Gazzettino .
Incroyable ; le jamboree du Love parade au beau milieu des canettes vert-bouteille .
Mais bon , ce truc , c'est devenu une spécialité très in depuis plus de vingt ans maintenant dans les milieux culturels bien-pensants . Et très décorés .
Une sorte de plus à l'occidentale !
Re-navrant , de voir un si beau lieu dans un état pareil .
Et si ça vieillit comme les colonnes Burinées ou l'Opéra Bastille , le pire est devant !
J'imagine , l'espace d'un court instant , déjà , la terrasse de Jules Hardouin-Mansart et pourquoi pas , même la Galerie des Glaces . Victimes toutes les deux du phantasme un peu loufoque d'un de nos plus subtils édiles .
A qui nous nous devons d'être infiniment reconnaissants .
Et que le monde d'hier , mais aussi celui d'aujourd'hui et de demain , etc , .....
Après .
Alfred Jarry disait qu'il fallait souvent briser un miroir ; eh bien , c'est fait !
Je veux dire la Galerie des Glaces Pilées ! - 04 janvier, 2008
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90.000 personne, C'est énormissime.
Il fallait s'attendre à ça. - 05 janvier, 2008
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J'ai envie de dire "J'y étais".
La Serenissime nous a accueilli, jeunes mariés, pour fêter cette nouvelle année.
La Piazza San Marco était belle, belle de tout cet échange d'amour.
Mais après les fameux décompte, j'ai personnellement cru que le pire des scenarii se jouait!
J'ai vu des bouteilles de champagnes voler, des gens se bousculer, souvent avec fracas, s'insulter, j'ai vu non plus de l'amour mais de la colère mêlée à la peur et à la panique, beaucoup suivant la même direction pour s’échapper, et revenir en arrière parce qu'il n'y avait pas d'issue.
J'ai cru au cauchemar. Je voulais que ca cesse, ne plus recevoir des coups, ne pas avoir envie de pleurer, juste m'enfuir de cette place!
de retour à l’hôtel, je me suis sentie soulagée, ce qui s'est passée sur cette place, c'est un échantillon de la nature humaine, s'aimer où il faut quand il faut, mais dès que la magie se dissipe, les instincts refont surface, et l'amour s'envole sous les cris.
Buon anno, e grazie di racontare belle storie italiane. -
06 janvier, 2008
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- Merci pour ce témoignage vécu. Il faut oublier cette péripétie et garder espoir en la nature humaine!Que l'année vous soit bonne et heureuse, lectrice apenna sposata!
- 07 janvier, 2008
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- j'y étais aussi pas très tard, je n'ai pas croisé de hordes de barbare ...... paradoxalement n'est ce pas une preuve que Venise vit ......
- 21 janvier, 2010
La Venise que j'aime
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3 commentaires:
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- ça donne envie d'y aller ces photos !
- 04 janvier, 2008
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- celle que j'aime aussi
bonne année cher Lorenzo (si vous permettez) -
04 janvier, 2008
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- bonne année à vous !
- 04 janvier, 2008
02 janvier 2008
Enquête : où en sont les prix à Venise ?
Cela n'a l'air de rien, mais c'est une augmentation conséquente qui n'a pas vraiment d'explication logique d'après les services concernés.Mais ce n'est pas tout. Nous revoilà dans notre bar favori à l'heure du déjeuner. Les toasts (croque-monsieurs) et les panini (sandwiches), de plus en plus choisis à la place du repas familial ou du restaurant classique, par manque de temps ou d'argent, ont pris une majoration de 25% et les tramezzini 22% ! Il est vrai que les produits de base qui rentrent dans leur fabrication, comme le pain par exemple, coûtent plus cher et les patrons des bars doivent suivre pour tenir le coup. Mais les boissons aussi augmentent : les apéritifs prennent 21,89%, les boissons non alcoolisées 17,06%, la bière 16,02%, les sirops 13,48%, les jus de fruits 8,87% et le thé 8,33%...Mais d'où viennent ces augmentations. Les matières premières ont considérablement grimpé bien sur, comme le café, la farine, les œufs, le beurre, provoquant une réaction en chaîne qui pénalise le consommateur. Mais il n'y a pas que ça, les contraintes administratives et les nouvelles réglementations venues de Bruxelles sont aussi responsables de cet "alignement" vers le haut. L'électricité, le gaz, l'eau aussi y sont pour quelque chose. Les taxes grimpent à leur tour. Dans le prix de la tasse de café, en plus du café et de l'eau, il y a le coût de la machine, le courant pour la faire fonctionner, le salaire du serveur. C'est la loi du marché dit-on au consommateur effaré de voir son porte-monnaie se vider aussi vite alors qu'il n'a rien changé à ses habitudes. En fait, tous les prétextes sont bons, surtout dans le centre historique, pour arrondir les prix à la hausse. Au moment du passage à l'euro, le café à Venise coûtait 70 centimes. 15 centimes en aussi peu de temps ne vous paraît-il pas excessif ? D'autant que la tradition et les usages font du café un produit de haute consommation en Italie. La montée des prix se fait sentir en fin d'année sur le porte-monnaie du consommateur. On ne peut envisager d'en réduire l'usage et la consommation. Alors le service des statistiques et de la recherche (équivalent de notre observatoire des prix) a lancé ce conseil : "goûtez-le bien votre cher café, buvez-le lentement et n'en laissez pas une goutte".