C'est toujours la même chose. Posons les faits avant de lancer le débat : D'un côté, votre serviteur avec des idées plein la tête, le temps qui semble manquer pour tout faire, un projet éditorial en train de voir le jour avec l'aide d'une toute petite équipe, réduite mais efficace et mille choses à faire donc. De l'autre côté, vous, nos chers lecteurs, souvent fidèles (certains abonnés suivent Tramezzinimag depuis mai 2005 !), vous qui êtes les premiers concernés par ce qui vous est donné à lire, par ce projet éditorial aussi, puisque tout cela vous est destiné.
L'ogre Google - ou un (robot) crétin à sa solde, en faisant disparaître corps et biens il y a deux ans maintenant le plus gros des billets rédigés du premier Tramezzinimag, a avalé aussi plus de 250 abonnés, et réduisant le lectorat quotidien de plus de 60%... Coup dur dont nous nous sommes remis. Le premier choc digéré, la plaie cautérisée et la rage avalée, nous avons bravement remis la machine en route au son de l'ouverture de Tannhaüser, les fenêtres grandes ouvertes sur le campo qui a résonné plusieurs fois des violons de Wagner après ceux de Vivaldi, le volume peut-être un peu fort certaines fois - sans pour autant faire vaciller davantage le campanile storto de Santo Stefano voisin, qu'on se rassure ! - et vous êtes de Tramezzinimag.
Mais l'éradication du premier blog entraîna aussi la disparition de ce que l'on nomme en langage informatique le template, le modèle, la charpente d'origine de Tramezzinimag. Nous avons alors pensé qu'il était peut-être temps de faire évoluer l'aspect de votre magazine. De nombreux commentaires au fil des mois ont renforcé l'idée que Tramezzinimag II s'avérait moins lisible, moins convivial. Plusieurs personnes nous ont gentiment fait part de leurs idées, nous ont donné des conseils. Le fonds noir, l'écriture blanche ne plaisaient guère, la couleur orange - un symbole pour nous - n'a pas non plus les faveurs de certains...
C'est pourquoi aujourd'hui, Tramezzinimag se présente à vous dans une nouvelle version - un pilote - encore largement à améliorer, à peaufiner. Il s'agit d'une présentation plus traditionnelle, moins branchée mais que nous espérons agréable et élégante. Il va falloir quelques heures encore de travail pour modifier la base proposée par blogger (que nous aimons bien et parce que nous ne sommes pas rancuniers), trouver les bonnes couleurs, la taille idéale du texte et des images.
Mais sur le Net rien ne peut être figé pour ne pas lasser. On dit qu'il faut faire plus concis, que les gens veulent aller vite d'une information à l'autre, de l'image surtout. Nous aimons les images mais nous leur préférons les mots, leur beauté, leur force. Nous ne ferons pas plus court. L'idée depuis la fondation a toujours été d'offrir en ligne l'équivalent d'un magazine que l'on feuillette au gré de ses humeurs, avec une table pour y retrouver un sujet précis, y vérifier une information. Les templates dont nous disposons offrent un champs limité au déploiement de cette belle idée : mettre à disposition des lecteurs une véritable revue sur la Venise que nous aimons, continuellement disponible et mis à jour, complété. Nous nous y employons.
Bientôt le site tramezzinimag.com sera opérationnel. Il y aura le blog, mais aussi des informations et des suggestions pour tous ceux qui veulent voir Venise autrement, des notes de lecture et des critiques de films en rapport avec la Sérénissime. Le site abritera aussi le catalogue de la maison d'édition que nous vous annonçons depuis plusieurs mois déjà et qui tarde à venir. Comme la rose du Petit Prince, elle se fait une beauté. Plus pragmatiquement, les démarches administrative et le financement traîne, car le projet se déploiera à la fois en France et en Italie, et il s'agira de proposer davantage que des ouvrages à la vente. Nous en reparlerons bientôt. Promis.
En attendant, permettez-nous de vous solliciter, votre serviteur en tête :
Mais l'éradication du premier blog entraîna aussi la disparition de ce que l'on nomme en langage informatique le template, le modèle, la charpente d'origine de Tramezzinimag. Nous avons alors pensé qu'il était peut-être temps de faire évoluer l'aspect de votre magazine. De nombreux commentaires au fil des mois ont renforcé l'idée que Tramezzinimag II s'avérait moins lisible, moins convivial. Plusieurs personnes nous ont gentiment fait part de leurs idées, nous ont donné des conseils. Le fonds noir, l'écriture blanche ne plaisaient guère, la couleur orange - un symbole pour nous - n'a pas non plus les faveurs de certains...
C'est pourquoi aujourd'hui, Tramezzinimag se présente à vous dans une nouvelle version - un pilote - encore largement à améliorer, à peaufiner. Il s'agit d'une présentation plus traditionnelle, moins branchée mais que nous espérons agréable et élégante. Il va falloir quelques heures encore de travail pour modifier la base proposée par blogger (que nous aimons bien et parce que nous ne sommes pas rancuniers), trouver les bonnes couleurs, la taille idéale du texte et des images.
Mais sur le Net rien ne peut être figé pour ne pas lasser. On dit qu'il faut faire plus concis, que les gens veulent aller vite d'une information à l'autre, de l'image surtout. Nous aimons les images mais nous leur préférons les mots, leur beauté, leur force. Nous ne ferons pas plus court. L'idée depuis la fondation a toujours été d'offrir en ligne l'équivalent d'un magazine que l'on feuillette au gré de ses humeurs, avec une table pour y retrouver un sujet précis, y vérifier une information. Les templates dont nous disposons offrent un champs limité au déploiement de cette belle idée : mettre à disposition des lecteurs une véritable revue sur la Venise que nous aimons, continuellement disponible et mis à jour, complété. Nous nous y employons.
Bientôt le site tramezzinimag.com sera opérationnel. Il y aura le blog, mais aussi des informations et des suggestions pour tous ceux qui veulent voir Venise autrement, des notes de lecture et des critiques de films en rapport avec la Sérénissime. Le site abritera aussi le catalogue de la maison d'édition que nous vous annonçons depuis plusieurs mois déjà et qui tarde à venir. Comme la rose du Petit Prince, elle se fait une beauté. Plus pragmatiquement, les démarches administrative et le financement traîne, car le projet se déploiera à la fois en France et en Italie, et il s'agira de proposer davantage que des ouvrages à la vente. Nous en reparlerons bientôt. Promis.
En attendant, permettez-nous de vous solliciter, votre serviteur en tête :
- Donnez-nous vite votre avis sur le nouveau modèle proposé, cette base sur laquelle vous lisez ce matin cet éditorial.
- Faites-nous des suggestions sur ce que vous souhaiteriez lire davantage dans nos colonnes.
- Faites-nous des propositions de collaboration temporaire ou suivie : des textes, des reportages, des photos, des vidéos, du son.
- Étonnez-nous par vos inventions, vos projets, vos idées, vos envies
- Aidez-nous à mieux faire !