Dans Situations IV, Jean Paul Sartre parle du Tintoret mais aussi de ses impressions vénitiennes. Un exemple :
"L'eau est trop sage; on ne l'entend pas. Pris d'un soupçon, je me penche : le ciel est tombé dedans. Elle ose à peine remuer et ses millions de fronces bercent confusément la maussade Relique qui fulgure par intermittences."
(1953)
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