02 janvier 2010

Résolutions 2010 : la liste

Trouvé dans mes courriels cette amusante carte postale des années 30. "Auguri, auguri" dit-elle. Je vous l'adresse à mon tour. Que cette année 2010 vous soit favorable et heureuse.

Parmi les vœux ( résolutions & bonnes intentions) de Tramezzinimag :
  • Le voyage en avril pour quelques Fous de Venise,
  • La sortie d'un petit ouvrage sans prétention qui reprendra quelques unes des chroniques du blog et des extraits de mon journal vénitien, 
  • Davantage de bonnes adresses et de recettes sur le site, 
  • Le lancement du site internet, 
  • La mise en place d'une campagne de restauration de symboles de la Venise mineure qu'il faut sauver d'urgence (de la pollution et du vandalisme), 
  • Davantage de compte-rendus de lectures, 
  • Un meilleur suivi de la nombreuse correspondance que je reçois (comme Gaston Lagaffe aux Editions Dupuis, les courriels s'entassent et je ne sais plus par lequel commencer...) 
Et puis, égoïstement, de plus nombreux et plus longs séjours à Venise pour votre serviteur afin de mieux vous parler de la Venise d'aujourd'hui et de celle de demain... 
 
De tout cela nous reparlerons dans les prochains jours. 

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6 commentaires:

maite a dit…
Eh bien...que de bonnes et agréables résolutions, puissiez-vous toutes les réaliser, a presto !
Enitram a dit…
Quelle bonne idée d'éditer un recueil de votre blog car souvent j'en ai imprimé des extraits comme celui du 11/09/2009, "par une chaude nuit d'été, la lagune". Votre écriture est belle et poétique à souhait, bravo ou bravissimo !!!!!
Très bonnes résolutions pour cette nouvelle année !
Anne a dit…
"La sortie d'un petit ouvrage sans prétention": c'est une très bonne nouvelle, Lorenzo. Il faudra nous donner les références pour pouvoir le demander en librairie.
Anne
Michelaise a dit…
Que voilà une jolie liste de résolutions Lorenzo et de projets... Il y en a sans doute d'autres qui n'ont pas trait à Venise, que pour tous ces désirs, vous trouviez l'énergie, l'inspiration, le temps, le ressort afin de les mener à bien

Lorenzo a dit…
Merci à vous toutes !
n-talo a dit…
bonne année et bonne route pour 2010

Images de la Saint Sylvestre à San Marco


Pluie et acqua alta pour le début 2010 là où il y avait la neige l'année d'avant. Cela n'a pas empêché plus de 30.000 personnes de faire le déplacement sur la Piazza. Les pieds dans l'eau...

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11 commentaires:

beatrice De a dit…

Et ben dis donc ! J'espère quand même que les pètards
n'ont pas été trop mouillés. Cela fait des photos d'ambiance sympa.
Je ne connais pas Venise, la place.St. Marc croulant sous autant de monde. Même que, quand j'y vais pour acheter des perles de verre pour mes colliers, il y a déjà bien assez de monde avec les touristes.
Alors *bonne année.

Béatrice de Lausanne en Suisse.

Thierry a dit…

Ces photos sont magnifiques...merci Lorenzo!

Vraiment, rien n'est banal, encore moins vulgaire, à Venise, fût-ce un rassemblement "popu", y compris avec des touristes...C'est Venise, la plus forte, la plus puissante!

(quand je pense que je n'ai SURTOUT pas fait le déplacement aux Champs-Élysées, à côté desquels pourtant je me trouvais, le 31 XII au soir, dégoûté par ce que j'y avais vu, une autre année...)

Anonyme a dit…

Bonne année Lorenzo, et merci pour les rêves éveillés que vous nous faites vivre chaque jour. Je vous souhaite de pouvoir vous installer définitivement dans cette cité magique (je me le souhaite aussi à moi, en passant !), ou au moins, d'y passer le plus de temps possible.
Vénitiennement votre.
Gabriella

Gérard a dit…

On mesure l'urgence d'arrêter toutes ces inondations au plus vite . Le concert du nouvel an , à la Fenice , était encore superbe . Hier soir . La lagune , sa vérité , son mythe , ont vraiment besoin d'une grande résurrection , et c'est peu dire : c'est encore un des seuls lieux modernes au monde . Mais ça pour le comprendre , bonjour ! Sauf sur ce blog magnifique et surtout incontournable , qui nous rappelle avec classe quelques vérités bonnes ou moins bonnes à dire , mais surtout qui ne détériore en rien quand il ne la grandit pas comme personne la grandeur immémoriale de la souveraine cité-mémoire . Merci à vous , meilleurs voeux 2010 à tous , et longue vie à ce journal d'affections . Génial ! Pour un paysan comme moi .

Polar a dit…

Mouai... En même temps, Venise sans acqua alta... Il faut simplement maîtriser les excés du phénomène, ce que fera sans doute le MOSE. Là, ça fait une semaine que ça dure, les gosses et les touristes sont ravis, c'est la course aux bottes, les vénitiens le prennent avec leur fatalisme souriant habituel et il n'y a comme d'habitude que les vieux bourgeois du Dorsoduro en loden et chapeau à plume vert qui balancent des "permesso" rageurs à tout ce qui leur barre la route et qui a le mauvais goût de parler français ou anglais... A partir de demain, le spectacle est fini: il va geler!... Peut-être de la neige, c'est beau aussi, Venise sous la neige!

Lorenzo a dit…

J'aime bien mon vieux loden usé par les intempéries des hivers vénitiens (tradition vestimentaire héritée des générations d'avant mais qui ne date que des années 20 avec les modes venues du Trentin et de l'Adige, "à l'autrichienne"...)et j'avoue que moi aussi, parfois, je pousse des "permesso" agacés quand je suis un peu pressé et que des touristes braillards bouchent complètement le passage... Je suis contaminé mais je mentirai en disant que cela m'ennuie ! Trêve de plaisanterie, si on comprend l'humeur de certains vénitiens devenus grincheux avec l'âge, la majorité d'entre eux reste bienveillante et accueillante. Mettez-vous une seconde à leur place : la ville dénaturée, envahie, qui n'a plus rien à voir avec celle qu'ils ont connu et ajoutez-y les difficultés de nos temps, l'enlaidissement et l'appauvrissement mental (je pense aux graffitis qui polluent les murs de la ville comme n'importe quelle cité du monde hélas), vous comprendrez leur réaction épidermique. Pour eux, ces groupes de barbares qui viennent consommer leur monde et se repaissent du spectacle des inondations comme une animation de Disneyland, sont (indirectement) responsables de la disparition des boutiques de première nécessité (pratiquement plus d'épiciers, de pressings, de cordonniers, de bouchers, finies les drogueries et les merceries...)et ils les traitent de "deficiente" sans complexe quand ils se retrouvent dans les bars pour un'ombra. mais ce ne sont pas que des "bourgeois" de Dorsoduro (qui râlent, s'impatientent et portent des lodens verts !), le facchino qui pousse son chariot de marchandises, le facteur ou le marinier de l'ACTV disent et pensent de même. On peut s'en moquer, il faut certainement s'en inquiéter. Goldoni est loin, trop loin !

Agnès a dit…

Je vous souhaite une belle et douce année 2010, si possible le plus souvent à Venise bien sur !

VenetiaMicio a dit…

Bien parler Lorenzo, c'est tout à fait ce que je pense et je ne suis pas vénitienne, malheureusement !
Mais il y a tellement de vérités dans vos propos, que je comprends l'agacement de certains, et j'admire leur patience également, devant tous les évènements que vous venez d'énumérer...

Polar a dit…

Ne vous inquiétez pas, je l'aime bien moi aussi, notre vieux vénitien en loden et feutre à plumes... Au premier coup de feu, je rends les armes avec un "scusi" souriant, je fais semblant d'engueuler mes gosses pour qu'ils serrent à droite et qu'ils arrêtent de sauter dans les flaques avec des hurlements de sauvages et tout rentre dans l'ordre... Pour ce qui est des rapports de Venise avec le tourisme, ils sont d'une telle ambiguïté que des réductions manichéennes du type "invasions barbares" sont complètement irréalistes. Pour s'en convaincre, il suffisait de lire le Gazzettino ou de regarder les infos locales l'année dernière à la même époque lorsqu'il s'agissait de commenter le très léger recul de fréquentation pour l'année 2008!...
Quand à l'acqua alta, je suis là aussi surpris que vous la réduisiez à un « Dysneyland pour touristes « … C'est un spectacle toujours étonnant, souvent magnifique (oui, je sais...), et j'ai quelques photos de ruelles inondées dans nuit ou des colonnes de la piazzetta au petit jour qui peuvent en témoigner. De ce point de vue, il est d'ailleurs intéressant de noter que les barrières du Mose ne se déclencheront qu'à partir d'un certain coefficient qui reste quand même assez important. L'excellent Massimo n'a visiblement pas l'intention de stériliser la ville.
Bonne année, bravo & bonne continuation

Les Idées Heureuses a dit…

Le loden n'aurait pas suffit, cher Lorenzo, il fallait doudoune, bonnet, gants, bottes car l'acqua alta a fait son apparition tous les jours de la semaine deux fois même, en matinée et en soirée...
J'ai rencontré pour la première fois ce phénomène de marée à Venessia, il est vrai que les reflets de la Place San Marco, le campanile dans ces eaux qui viennent du tréfonds ont de quoi vous faire vibrer, mais je dois reconnaitre que j'évitais d'y aller car je ressentais une grande tristesse de voir ces rangs de personnes à la queue leu leu, sur les pontons, s'arrêtant pour prendre "LA photo souvenir" puis,avançant ne regardant que leurs pieds ...un peu dans l'eau à nouveau pour une autre photo: et que je patauge, et que j'éclabousse avec mes grandes "palmes", sans l'élégance toutefois et le charme des mouettes qui flottaient comme si de rien n'était...
Je pensais à l'usure de la pierre, j'observais plus loin les commerçants qui font face avec force coup de balai et pelle pour vider ce début de local-aquarium sans poisson.
Les vénitiens ont l'habitude de ce phénomène,tenant un sac contenant les chaussures adéquates lorsqu'il le faut, connaissant les lieux et les quartiers plus hauts, plus secs. Il faut les suivre quitte à se perdre une nouvelle fois...
Le lendemain du Capodanno, que de bouchons de champagne qui flottaient, de verres en plastique laissés là, attendant le service du nettoiement pour être évacués...
et puis la nouvelle panoplie de secours en plastique rose ou bleu avec des semelles non moins grises, juste un secours qui se sème aussi lorsque le besoin de les mettre ne se fait plus sentir...
Nous n'avons pas vu un chat si ce n'est sur le campo San Lorenzo où on leur a construit un petit chalet en bois, par contre que de petits chiens, je n'en avais jamais vu autant, des petites crottes aussi, attention aux bottes, de ne pas y marcher dedans.

Cependant Venessia reste Venessia! C'était cette fois là "la Mélancolique, elle était belle,diaphane, froide, grise, elle flottait avec encore plus de grâce, et de force, elle était plus sauvage, plus difficile à cerner, elle nous a encore une fois conquise.

Lorenzo a dit…

Jolie description. Merci.

Appel : Aidez à financer Tramezzinimag !

Il y a peu de publicité sur Tramezzinimag, c'est normal, s'aventurer au fil des pages de ce magazine virtuel deviendrait vite un pensum si des dizaines de fenêtres publicitaires incongrues devaient s'ouvrir en même temps que la page du billet que vous souhaitez lire ! Mais pour continuer à se développer, le blog a besoin d'argent. Et puis a germée l'idée d'un véritable site qui irait plus loin que le blog, avec des albums photos, des pages vidéos, des informations en temps direct, des forums... Cela ne se fait pas qu'avec de la matière grise (il m'en reste encore un peu, profitons-en) ou de la bonne volonté. On m'a alors proposé la mise en place d'un panier virtuel où peuvent être déposés les subsides que certains jugeraient bon d'envoyer. Le minimum recommandé est de 5 euros (en-dessous les frais de fonctionnement de Paypal sont trop élevés) et il n'y a pas de maximum ! 
 
Idée sympathique venue de lecteurs (lectrices) fidèles. Paypal était le vecteur idéal : C'est sécurisé et sans risque donc : il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous et de suivre les instructions ! Pour éviter trop de publicités pas toujours agréables, pour me permettre de consacrer davantage d'énergie à l'écriture de mes billets plutôt qu'à la recherche de subsides, faites un don à Tramezzinimag. Et parce que j'ai un peu l'impression de quémander, chaque donateur recevra une certificat illustré en tirage limité. D'avance merci et encore Bonne Année à tous !




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9 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est avec plaisir que je consulte chaque jour les " blogs " sur Venise riches d'images , commentaires, musiques ...Leurs auteurs témoignent d'une passion désintéressée ... pour la Sérénissime ... C'est pourquoi je comprends mal votre demande de subsides .Est-ce pour une association de sauvegarde ou une société ? Merci de m'éclairer .

Arnaud a dit…

Quel pays que le notre où chercher à gagner de l'argent ou à ne pas en perdre est diabolisé et tout de suite mal vu. Vous voilà "intéressé” Lorenzo. Quelle bêtise. Anonyme est à coup sur fonctionnaire ou salarié(e) et ne sait pas ce que c’est que la difficulté de créer et de manger aussi. Je participe volontiers car je comprends vos préoccupations et vos difficultés. Parce que toute peine mérite salaire même dans un monde qui ne cherche que la gratuité. Pour que Tramezzinimag perdure, je vous suis dans votre démarche ! Continuez longtemps à nous régaler et ne donnez pas suite aux persiflages !

Lorenzo a dit…

C'est effectivement avant tout pour tenter de financer le projet de site internet, rémunérer l'hébergeur et assurer le référencement permanent. C'est aussi parce que Tramezzinimag, comme l'écriture en général, est en train de devenir mon unique activité. Une de mes fidèles lectrices s'étonnait devant “tout ce temps passé à rédiger ces billets qui ont l'heur de plaire à de plus en plus de monde” et “mon entêtement à faire cela totalement bénévolement”. Quand j'occupais seulement mon "temps perdu" à rédiger quelques billets sur Venise, entre deux rendez-vous professionnels, je ne voyais aucunement l'opportunité de chercher un financement. Mais ne me croyez-pas intéressé : Si vous estimez que passer plusieurs heures par jour pour vous apporter satisfaction, au détriment de ma vie professionnelle et de mes autres activités sociales ou familiales, ne mérite pas plus que vos félicitations (qui m'honorent beaucoup en vérité), si vous pensez que tout est nécessairement gratuit (notamment sur le Net), rien ne vous oblige à participer financièrement à l'aventure de Tramezzinimag. Rien ne vous oblige à me lire non plus.
Il m’a semblé que pallier le “manque à gagner” de ces heures passées sur Tramezzinimag pour continuer de satisfaire mes lecteurs (plus de 300 personnes aujourd'hui) par ce biais vaut mieux que par l'arrivée de la publicité ou la fin par asphyxie de Tramezzinimag. Si d’autres lecteurs devaient partager votre opinion, je me rangerai bien évidemment à leur choix.En espérant vous avoir éclairé,
Bien à vous,
Lorenzo

Catherine Chaumet a dit…

Bonjour,
J'ai cliqué sur "faire un don" car j'aime vraiment beaucoup votre blog, et par avance votre site, et que j'apprécie de ne pas y voir de publicité (j'ai arrêté de tenir mon propre blog pour cette raison) et bien que je possède un compte paypal, je n'ai pas su à quel moment indiquer ou saisir les coordonnées du bénéficiaire de mon modeste virement. Comment s'y prendre concrètement?

Anonyme a dit…

Il suffit de cliquer sur la bouton "faire un don" pour arriver sur la page et remplir les cases. Si vous avez un compte Paypal, il suffit de vous connecter en bas à droite sinon Paypal vous demandera d'en créer un en rentrant une adresse mail. Après, il suffit de suivre les instructions en ligne.

Anonyme a dit…

Comme Arnaud, je suis choqué du 1er. commentaire et encourage "anonyme" à lire TraMeZziniMag (j'adore cette typographie...tout un programme en soi): d'ailleurs nul n'est besoin d'en lire tant: à peine les posts expédiés par Lorenzo, pendant deux ou trois jours, et encore...ceux d'une seule journée suffisent et "cher anonyme", vous serez bien convaincu que Lorenzo est un être tout à fait désintéressé, comme il y en a bien peu. Si vous n'avez pas compris ça, en trente secondes, effectivement, vous ne semblez pas être en mesure d'apprécier les subtilités dont il nous fait cadeau, ici, en parfaite générosité d'esthète et d'ami.

P.S. Il n'y a qu'à lire la réponse qu'il vous fait, je le reconnais bien là, tout gêné d'avoir à se justifier, pour une fois qu'il parle d'argent, et avec combien d'élégance et combien ses raisons sont cent fois légitimes.
Sachez "cher anonyme" qu'il existe certainement des gens riches, qui seraient prêts à débourser beaucoup si jamais Lorenzo était quelqu'un qui songeât à monnayer sa science inestimable de Venise mais il a trop de goût et de pudeur, pour ça.

(Excusez-moi, Lorenzo, de prendre votre défense et de vous faire rougir mais je sens vous sens presque désemparé devant une telle question si incongrue et permettez-moi de le faire parce que cela vient du coeur, je ne crois pas me tromper en le faisant au nom de toutes vos lectrices et lecteurs fidèles)

Ceci étant dit, "cher anonyme", faîtes-nous le plaisir de demeurer en notre compagnie, je suis certain que vous comprendrez, après-coup, la bizarrerie de votre question.

Thierry a dit…

Voilà que je me rends "anonyme" moi aussi: c'est bien Thierry, l'auteur du post précédent!

maite a dit…

Bonjour Lorenzo, je lis votre blog depuis plusieurs années et je l'apprécie comme beaucoup d'entre nous.
Peut-être est-ce grâce à vous que j'ai eu envie de créer mon petit blog à moi, sans aucune prétention et qui ne rivalise en rien avec le vôtre.
J'y passe plusieurs heures par jour pour le préparer mais sans aucune contrainte puisque je suis au chômage...
Je n'apporterai pas de contribution, vivant comme on dit "sous le seuil de pauvreté" (que je n'aime pas ce terme !) mais j'espère que vous continuerez quand même à nous faire partager toutes vos "réflexions" et tous vos petits "billets" si agréables à lire.
a presto !

Lorenzo a dit…

Merci à tous. Je suis surpris et ravi surtout de sentir combien mes lectrices et mes lecteurs comprennent ma démarche et apprécient Tramezzinimag. "Nos temps sont difficiles mais ce sont nos temps" a dit un jour le Prince Jean (le vrai, si ce blog peut contribuer à adoucir les contraintes, les peines et les difficultés du quotidien de ceux qui me lisent, alors tout ce travail trouve sa justification. Merci Thierry de votre amical soutien, merci à Maïté et à tous les autres. Merci aussi, "Anonyme" d'avoir posé la peine de poser la question du "pourquoi" et de continuer à me lire comme avant, sans arrière-pensée ni inquiétude.