22 janvier 2008

Merci à mes lecteurs !

Le cap des 70.000 visiteurs a été franchi pendant mon absence. Comme en catimini !!!
 
Joie de voir ce journal virtuel attirer de plus en plus de monde. Rassurant de savoir combien Venise est aimée et combien tout ce qui la concerne touche les gens. C'est cela le patrimoine de l'humanité après tout, cette notion artificielle trouve ses fondements et sa justification dans l'affection que nous portons à des lieux mythiques, souvent fondateurs de ce que nous sommes. S'il est un peuple, une cité qui sont porteurs de civilisation, c'est bien le peuple vénitien et la Sérénissime après tout ! En tout cas, je ne vous remercierai jamais assez, mes chers lecteurs, pour votre enthousiasme, votre fidélité et votre indulgence !

4 commentaires:


anita a dit…
Ne croyez-vous pas que ce soit moi et tant d'autres qui devons vous remercier ? Je lis actuellement " Le piéton de Venise " de Marc Alyn ... eh bien , il y manque juste une dimension ( et laquelle !!! ): la chaleur de l'enthousiasme que vous ajoutez aux écrits que vous nous livrez ... anita
Myriam a dit…
non non ne me remerciez pas ou plutôt ne nous remerciez pas. Merci de m'apprendre tous les jours, petit à petit, l'histoire de Venise d'hier et d'aujourd'hui. Merci de me faire partager tous les jours, petit à petit à travers vos récits, vos photos, et toutes les atmosphères que vous décrivez..........Venise Myriam
Florence a dit…
Cest à nous de te remercier de tous ces articles sur Venise. Pour moi c'est un réél plaisir de lire Tramezzinimag, je me sens au plus près de mes racines...et ça me permet de patienter entre 2 séjours. Ciao e grazie
Gérard a dit…
3 femmes et pas un homme ! Alors , Ozon ! Bravo à ce blog infiniment lumineux . Bon , la vieille cité , des fois elle me semble loin , si loin .............. Là-bas , comme perdue au fond d'la mer . Et puis d'un coup , la voilà qui m'revient en plein d'dans , comme une secrète nécessité . Une vague . Sont-ce les couleurs voletantes du fabuleux papillon impérial d'Amérique centrale ? Cet éternel périodique . Où bien celles idem des marbrures époustouflantes des Miracoli ! Posées d'ssus . Toujours est-il que par moments la force et la légèreté viennent à se confondre et ici à se fondre . Cette Cité-Femme qui se balade dans les esprits , pour une fois , pour une fois seulement , est libératrice ! On s'y accroche ! A ses ailes . A son nectar .