VENISE,UN LIEU MA ANCHE UN VIAGGIO NELL'EUROPA CHE MI PIACE NOT THE ONE OF THE GLOBALIZATION MAIS CELLE DES NATIONS DES PEUPLES DES CULTURES, PATRIA DELLA DEMOCRAZIA DELLA FILOSOFIA DELLA STORIA LA REINE DES VILLES AU SEIN DE L'EUROPE REINE DU MONDE
30 mai 2012
Gustav Klimt au Musée Correr
09 mars 2012
PuntoVe, le nouveau magazine vénitien
Il y a plusieurs années déjà, les services de télécommunications ont initié un projet interdisciplinaire ouvert à tous qui utilise les techniques les plus modernes. Plusieurs laboratoires accueillant des scientifiques du monde entier sous l'égide notamment de l'UNESCO, y sont installés qui travaillent à la découverte de nouvelles méthodes de protection des monuments et de l'environnement. L'université est à la pointe, la technologie la plus aboutie sollicitée dans le communication, les transports... L'école d'architecture voit venir à elle des postulants du monde entier... C'est peut-être cela l'avenir de Venise : devenir un super laboratoire de recherches et d'idées en même temps qu'un sanctuaire de l'art, de la pensée. Les deux se complètent pour former ce dont l'humanité a besoin : des hauts lieux de spiritualité et de réflexion. L'environnement est propice à la réflexion sur la lagune.
..Ils sont sur Facebook : http://www.facebook.com/puntove.it
02 mars 2012
B&B gratuit le 3 mars à Venise !
14 juin 2011
Venise à Bordeaux, le retour de l'ambassadeur
Cliché © Pierre Paréja - Tous Droits Réservés.
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Vous ne pouvez pas le manquer, le nouveau magasin est situé au 4 rue des Lauriers, entre la rue Saint Rémi et la somptueuse place du Parlement. Si vous êtes à Bordeaux, ou quand vous vous y rendrez, allez y jeter un coup d’œil, vous ne serez pas déçus ! Et si elles ont le temps, les nouvelles ambassadrices de Venise se feront un plaisir de trinquer avec vous. Le Prosecco n'a plus de secrets pour elles, non plus que le spritz qui les a conquis, au point que le restaurant italien voisin a ajouté l'apéritif vénitien à sa carte. Au Campari seulement pour le moment.
33000 - Bordeaux
05 56 81 53 76
contact @marcopolovetro.com
3 commentaires:
- ladivinecomedie a dit…
- " Un Spritz campari seulement" ! Pourtant de l'Aperol, on en trouve facilement en France maintenant ;-)
http://www.nicolas.com/fr/_18_17_8294_aperol.htm
Lors de mon dernier passage à Bordeaux, après avoir acheté quelques livres sur Venise aux bouquinistes de la Halle des Chartrons, j'ai découvert non loin u ne sympathique épicerie italienne La Bocca (78 bis Rue Notre Dame) : http://www.epicerielabocca.com/
Mais je ne manquerais pas de faire un tour à votre adresse lors de mon prochain séjour bordelais ! - 14 juin, 2011
-
- merci pour cette adresse. Il y en a quelques unes d'autres dans la ville depuis quelques années ! Evviva Italia !
- 14 juin, 2011
- Maïté a dit…
- Dommage pour le spritz à Bordeaux...à quand le Lillet à Venise ! Bonne soirée, a presto !
- 15 juin, 2011
30 mai 2011
Venise en 20 bonnes adresses par Christophe Barbier pour l'Express
Christophe Barbier, le fringant éditorialiste de l'Express est un amoureux de Venise,fin connaisseur de la ville et de ses arcanes. A l'occasion de la LIVe Biennale d'Art Contemporain, il publie ce soir un article sur ses bonnes adresses de Venise.
Tramezzinimag ne partage pas toujours les mêmes enthousiasmes pour certains des lieux indiqués, trop souvent dénaturés par la présence touristique, ou pour être plus direct (et ne pas froisser certains lecteurs) par l'omniprésence des parisiens qui semblent désormais y passer leur vie - mondaine, cela s'entend ! Mais voici l'intégralité de son texte :
" Venise n'est pas une ville, c'est une idée. L'idée que l'on se fait du temps qui passe, comme coule l'eau du Grand Canal. L'idée de la beauté, immarcescible et toujours surprenante. L'idée de l'Histoire, parfois immobile en ses pierres. L'idée, enfin, que l'on se fait du hasard, donc du destin. Car il n'est pas de meilleure façon de découvrir Venise et, mieux, de se l'approprier, que de s'y perdre. A rompre les rangs dans les artères à touristes, sécures autoroutes, on gagne le droit d'être perdu, donc d'être libre. Alors s'offre une Venise inédite, qui oublie d'être sérénissime pour se faire mystérieuse. Avec le fil de ces errances, on tisse un fin maillage de raccourcis précieux et de détours délicieux, on veille à traverser un campo apprécié ou à arpenter une calle oubliée. On s'enivre alors d'un zigzag savant derrière son air d'improvisation, on se prend pour un vétéran gondolier, on se croit chez soi.
Être chez soi à Venise, c'est aussi cultiver sa plate-bande de bonnes adresses -les jeunes disent "de bons spots". Les terrasses les plus agréables selon les heures du jour. Les meilleures pizzas. Les pâtes à se damner. Les seiches les plus fraîches. A Venise, rien ne distingue une gargote pour estivants d'un restaurant inoubliable: il faut connaître... Se risquer au hasard, au vu de la densité de restaurants au canal carré, c'est courir à la mésaventure. Un truc: si l'on ne parle qu'italien autour des tables, c'est bon signe; si l'on ne parle pas du tout, c'est très bon signe. Au cas où, voici quelques adresses pour réussir son séjour à Venise.
DÉJEUNER, DINER
A beccafico. Devant la statue de Nicolo Tommaseo, héros de l'unité italienne, la terrasse de cette maison sobre s'étend sur un campo de rêve, à deux pas du pont de l'Académie. Fruits de mer en vedette. Frédéric Mitterrand, ministre depuis peu, y vint festoyer après avoir visité la Biennale 2009.
Campo Santo Stefano, 041.527.48.79
Casin dei Nobili. Le meilleur rapport qualité-prix de Venise, cette pizzeria - pizzas le soir uniquement - est appréciée tant pour sa grande salle à toit ouvrant que pour la chaleur du service. Ne pas oublier de réserver.
Dorsoduro, 041.241.18.41
Accademia Foscarini C'est la plus belle vue du Grand Canal: de cette terrasse, à l'ombre de la grande arche du pont de l'Académie, on découvre l'ultime courbe du Grand Canal, la Salute, la Douane de mer. Excellent cappuccino.
Dorsoduro, 041.522.72.81
Acqua Pazza. Ces "eaux vives" coulent sous les fenêtres du palais où logent mes amis Paul Lombard et Louis Schweitzer quand ils sont à Venise. Les pâtes "aumm-aumm", avec aubergines et scamorza affumicata, sont à se damner. Liqueurs à volonté à la fin du repas: privilégier la mandarine et le limoncello.
Campo Sant' Angelo, 041.277.06.88
Birraria la Corte. La meilleure adresse si l'on promène un troupeau d'enfants. Avec ses nombreuses salles et ses tables de réfectoire, cette pizzeria est idéale pour la restauration de masse mais de qualité.
Campo san Polo, 041.275.05.70
Altanella. Une photo de François Mitterrand, expert ès bonnes tables vénitiennes, vous accueille avant que vous gagniez le balcon sur canal. Vous êtes ici sur la Giudecca, en face des Zatterre, loin des flots de touristes. Le calme est précieux, et les poissons sont imbattables.
Giudecca, 041.522.77.80
Vini da Gigio. Sur les arrières de la Strada Nova, cette maison chaleureuse est l'une des plus remarquables de Venise. A ne pas manquer: le fromage frit avec de la polenta...
Cannaregio, 041.528.51.40
Do Farai. Ce rendez-vous des gondoliers joue l'authenticité dans le décor, avec ses grandes tables d'auberge, ses boiseries désuètes et ses photos jaunies, et l'authenticité dans l'assiette, avec notamment des calamars irrésistibles.
Dorsoduro, 3278. 041.277.03.69
Caffè al Ponto del Lovo. Carlo Goldoni y était attablé pendant des heures, puisant des répliques dans la conversation des clients. Depuis 1750, le café y est apprécié, proposé avec de nombreuses pâtisseries. Le décor de ce "Pont aux loups", à deux pas du Rialto, n'a presque pas changé depuis, le café s'est mis, lui, au goût des touristes.
San Marco, 041.520.84.39
ACHETER
Accessoires.
Pied à terre, cette boutique propose la véritable pantoufle vénitienne, la furlane aux tissus rares et aux formes confortables. La semelle en gomme permet d'aller dans la rue s'il le faut, et de piloter sa gondole sans en abîmer le vernis. Inspirées par les chaussures des paysans du Frioul, ces pantoufles, fabriquées jadis avec des matériaux de récupération, sont désormais des petits bijoux.
Rialto, 041.528.55.13
DécoCavalier. Angelots fessus, lions de Saint- Marc, encadrements baroques, miroirs classiques ou de sorcières, statuettes: pour les boiseries sculptées et dorées, cet artisan n'a pas son pareil. Son père, déjà, régnait en maître, et avait conquis... Anne-Aymone Giscard d'Estaing !
San Marco 2863/a. 041.523.86.21
Design
Madera, objets inanimés, avez-vous donc une âme? Oui, dans ce magasin d'accessoires bien faits et de bon goût -ce qui n'est pas si fréquent à Venise...
Campo San Barnaba, 041.522.41.81
Masques
La Pietra filosofale, cette pierre philosophale est une mine d'or qui propose les plus beaux masques de cuir de Venise - et même les seuls à respecter tous les codes de la commedia dell'arte. Derrière son établi encombré et sa moustache encombrante, ce n'est pas un artisan qui taille le cuir, mais un artiste, enfantant un Polichinelle, un Arlequin, un Pantalone... A ne pas manquer.
San Marco Frezzeria, 00-39-041-528-58-85.
Atelier Marega, avec ses deux boutiques, cette enseigne donne dans le grand style XVIIIe siècle. Les masques sont assez communs, mais les costumes, à louer ou à vendre, sont sublimes et, rareté, on trouve ici des chaussures de style magnifiques.
Campo San Rocco, 041.522.16.34
Calle Larga, San Toma 041.71.79.66
Il Canovaccio. Toute l'Arche de Noé est mise en masques par cette boutique, dans ce papier mâché si caractéristique, et peint à la main, qui en fait autant de pièces uniques. Les plus belles ? Le crocodile, la girafe et la licorne.
Castello, 041.521.03.93
DÉGUSTER
Casa del parmigiano. Tout, tout, tout le fromage italien joue une symphonie de saveurs dans cet établissement situé juste à côté du marché aux poissons et du "bossu" du Rialto, mascotte vénitienne. Le pecorino y est roi ( jetez-vous sur celui à la truffe et celui au safran), la scamorza affumicata y est reine. Et le prosciutto s'est fait une place au milieu des fromages.
Campo Bella Vienna, Rialto, 041.520.65.25
Giacomo Rizzo. En allant du Rialto à la Ca'd'Oro, vous trouverez sur la gauche cette petite échoppe aux saveurs précieuses: huiles d'olive, sauces, truffes blanches, vinaigres balsamiques et, surtout, pâtes de toutes couleurs, tailles et formes -gondoles, Rialto, lettres et... pénis!
San Giovanni Crisostomo, 5778, Cannareggio, 041.712.23.31
Le match des glaciers. Les gelati coulent à tous les coins de rue à Venise, mais la finale du championnat de la Sérénissime oppose Paolin (campo San Stefano) à Da Nico (Zattere). La pistache et le gianduiotto sont meilleurs chez le second, la vanille et l'After Eight chez le premier. Paolin veille plus tard, Da Nico a vue sur la Giudecca et sur les bateaux... A vous de choisir.
DORMIR, SORTIR
Hôtels
Palazzo Stern, sur le Grand Canal, à côté de la Ca' Rezzonico -le musée du XVIIIe siècle-, cet hôtel est majestueux, de sa terrasse du rez-de-chaussée, qui s'avance sur l'eau, à son escalier bordé de fins piliers. Certaines chambres ont sur San Samuele une vue exceptionnelle. Et le vaporetto -lignes 1 et 2- est au pied de l'hôtel.
Dorsoduro, 041.277.08.69
AD Place, à l'abri de la Fenice, le fameux Opéra, dans le repli d'un canal, cet établissement entortille jusqu'à une altana au panorama appréciable des chambres à la déco audacieuse.
Fondamenta della Fenice, 041.241.32.34
Night-Club
Piccolo mondo. Il n'y a pas de boîte de nuit à Venise. Ou plutôt, il y en a une, hélas ! Le Piccolo mondo, ce sont des banquettes d'un autre âge; une musique qui semble sortie d'un canular; un personnel vermoulu. Tout cela en fait une curiosité...
Dorsoduro, 041.520.03.71 © Christophe Barbier / L'Express - 30/05/2011.
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La publication de ce billet avait suscité 13 commentaires heureusement conservés par Google :
Murissa Maurice a dit…
Merci pour une poste interessante!
Je comprend tres bon le ligne "Venise n'est pas une ville, c'est une idee." Venise est une idee si complexe et jolie que j'etait inspirer a ecrire une poeme car c'est une idee trop grand pour expliquer toute autre voie.
J'espere que mon francais n'est pas trop terrible pour votre yeux.
The Wanderfull Traveler
30 mai, 2011
Anonyme a dit…
Peu de ces adresses sont mes favorites à l'exception de la trattoria Altanella, de Vini Da Gigio et de la Casa del Parmegiano pour le Crudo di Sauris ou Nico pour son Gianduiotto régressif!
Pas un seul café du Campo San Margherita n'est cité comme le Café Rosso ou le Margaret Duchamp !
Et pour les hôtels mes adresses favorites sont deux Pensione du Dorsoduro : Pensione Accademia & Pensione La Calcina.
Nota-Bene : Quand faites-vous un nouveau billet sur le train de nuit Artesia un enfer ou un moyen économique et pratique de se rendre à Venise?
31 mai, 2011
Anonyme a dit…
J'ai effectivement croisé C. Barbier plusieurs fois à Venise ces dernières années (en plein mois d'août hélas) ce qui me le rend très sympathique, alors que je ne partage pas du tout ses idées. Il semble affectionner, comme moi, comme vous, le Dorsoduro... Merci d'avoir publié son article.
Soazig
31 mai, 2011
Lorenzo a dit…
Christophe Barbier présente ses choix. Ce ne sont pas forcément ceux de Tramezzinimag. Et ceux de Tramezzinimag ne sont pas forcément les miens. Quant au train, la polémique sur le forum du Routard prend des proportions incroyables et j'envisage effectivement un billet. J'ai déjà publié à ce sujet, ce moyen de transport étant celui que j'utilise à 98% pour me rendre à Venise depuis plus de 20 ans sans jamais un seul problème à ce jour. Mais je semble être une exception.
31 mai, 2011
Anonyme a dit…
Je m'étonne qu'il ne parle pas de la cantinone "già schiavi" et de ses délicieux cicchetti où je l'ai vu se désaltérer. Effectivement, peut-être pas assez parisien... C'est pour nous un passage obligé chaque fin d'après-midi à Venise.
Soazig
31 mai, 2011
Anonyme a dit…
Artesia c'est bientôt fini ! http://www.americas-fr.com/tourisme/actualite/trenitalia-cesse-sa-collaboration-avec-la-sncf-9059.html
31 mai, 2011
Anonyme a dit…
Je cherche à comprendre : Lorenzo vous n'appréciez pas les adresses données par ce journaliste, vous n'appréciez pas non plus l'omniprésence des parisiens sur certains lieux et vous relayez la pub de Barbier en entier sur votre blog, pourquoi ? Manque d'inspiration personnelle ? Lassitude ?
Rassurez vous bientôt il y aura du monde absolument partout à Venise grâce au GPS municipal et à vos bonnes adresses...
Parlez nous plutôt de votre Venise personnelle, c'est tellement plus intéressant que le catalogue d'adresses de luxe (mais pas seulement c'est vrai) que vous nous offrez régulièrement...
Moi je voyage toujours avec Artésia depuis de très nombreuses années et je n'ai jamais eu de problème, mais je sais qu'ils veulent supprimer le train de nuit, ça c'est sûr GGGRRR !!! Ou alors pe
ut-être en faire un train pour VIP ?
Cordialement.
31 mai, 2011
J-P. a dit…
Adresses fortes intéressantes mais ne suis pas sur Venise hélàs. Je trouve que tout ce que vous offrez avec ce divin blog est toujours super, toujours excellemment bien écrit et je sens que vous y mettez toujours votre cœur (ce pour quoi je vous lis et suis chaque jour), quelques soit l'article et son sujet. Merci à vous !
Cordialement, J-P
01 juin, 2011
Condorcet a dit…
Le premier chapitre me réconcilie avec Christophe Barbier dont je ne partage ni les idées politiques, ni les adresses vénitiennes (hormis l'Altanella et la Casa del parmigiano - étonnant qu'il n'y ait pas adjoint la drogheria Mascari -). Je le soupçonne de garder par-devers lui quelques "bei posti"...
02 juin, 2011
Lorenzo a dit…
Comme nous tous. Pour répondre à l'étonnement de mon lecteur anonyme, je dirai simplement que Tramezzinimag est un magazine et que la diversité des lecteurs doit être satisfaite. Je peste souvent après les parisiens, le bling-bling et les Happy Few, mais ce serait de la malhonnêteté que de toujours cracher dans la soupe que j'ai longtemps pris plaisir non seulement à consommer mais à préparer. Merci en tout cas à tous les lecteurs pour leur assiduité, leur soutien et tout ces commentaires ! Bonne fête de l'Ascension à tous !
02 juin, 2011
Charlotte a dit…
C'est vrai il ne faut pas cracher dans la soupe, votre blog a ce petit côté bobo qui me fait sourire...
Cordialement.
03 juin, 2011
Lorenzo a dit…
Ravi de vous faire sourire Charlotte.La mode effectivement rejoint l'authentique vie bourgeoise et bohème. Mon mode de vie et mes poses ont un côté bobo parce que ce mode de vie est (enfin) (re)devenu à la mode. C'est qui me fait sourire moi, c'est d'être rattrapé par elle quand comme des tas d'autres, je n'ai rien fait pour changer ou vivre différemment de comment j'ai toujours vécu... Bien à vous.
03 juin, 2011
Anne a dit…
Nous n'avons eu aucun problème avec le train Artesia que nous prenons depuis des années pour aller en Italie. Quant aux adresses, un récapitulatif de VOS choix, Lorenzo, serait le bienvenu.
Bon dimanche!
Anne
05 juin, 2011
03 novembre 2009
COUPS DE CŒUR N°36
Photographies de Luca Sassi
Editions Citadelles & Mazenod
Voilà un magnifique ouvrage de plus de 200 pages admirablement ordonné, aux textes clairs et précis et aux illustrations nombreuses et de belle qualité qui devrait faire des heureux quand le père Noël le déposera au pied du sapin. Bien plus qu'un simple coffee-table book comme il s'en consomme tant au moment des fêtes, ce nouvel opus de la collection Citadelles est un ouvrage qu'il faut avoir dans sa bibliothèque quand on se passionne pour Venise. Il traite de cette extraordinaire période qui pourtant annonce son déclin futur quand Venise abandonna tout désir de puissance et d'hégémonie sur l'Orient et les marches de l'Europe. Avant que de s'enfermer dans une neutralité méprisante et pleine de prétention, la République de Venise, comme le fera Louis XIV avec Versailles, choisit de se mettre en scène. Comme l'indique la notice de l'éditeur : "Dans l’histoire complexe de Venise, le Seicento – le XVIIe siècle– n’est pas un siècle comme les autres : il a offert à la République la toute dernière occasion de réagir, y compris par les arts, à l’inéluctable destin qui l’a reléguée dans un rôle de plus en plus marginal par rapport aux événements politiques européens. C’est une période bien particulière, soucieuse de marquer visuellement le tissu de la ville par les signes majestueux du triomphe. Le Seicento vénitien qui confond augures, rêves et illusions avec la réalité concrète, politique ou sociale, a eu pour mots d’ordre l’excès et l’emphase. Un goût certain pour la profusion ornementale, le grotesque et le bizarre. Un désir effréné de croître en grandeur. L’intention était claire : il s’agissait de susciter l’émerveillement... L’étonnante représentation théâtrale qui se déploie ainsi à l’intérieur mais aussi à l’extérieur des édifices finit par se diffuser dans tout Venise. Le baroque qui s’y décline est étroitement lié à la nature même de la ville, fondée sur l’impossible, et à l’eau bien sûr, sa consistance si spécifique..."
DECCA - 2006
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Guide des instruments anciens
Coffret livre avec 8 cd
Edition Ricercar
Référence "RIC 100".
Je viens de découvrir un superbe coffret dédié aux instruments anciens. En deux volumes, la publication pourrait devenir la référence la plus récente sur le sujet. Le premier volume est un dictionnaire de 200 pages présentant les instruments. Très documenté, il développe avec l'aide de nombreuses photos, l'histoire de chaque instrument, sa provenance géographique, sa parenté instrumentale, son répertoire et l'histoire de son usage à travers les siècles par les musiciens... Le second volume est composé de 8 cd qui est l'illustration sonore des commentaires du premier volume. Il est très agréable de passer du livre à l'écoute et c'est parfois une véritable découverte.
Encore une idée de cadeau à noter dans votre lettre au Père Noël !
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Fondamenta Borgognoni n° 12
Torcello
Tel/Fax 041 52.722.54
Mobile 34.98.12.10.78
Fermeture hebdomadaire le mercredi
Une lectrice demandait récemment si le restaurant tranquille dans l'île de Torcello existait encore. La Villa '600 a gardé son nom et l'essentiel de son cadre mais les nouveaux propriétaires ont fait passer un échelon à l'auberge familiale de mon époque. Si la maison est toujours aussi jolie et l'intérieur relativement préservé, une grande loggia de bois a été construite à l'emplacement du potager et du poulailler pour les noces et les banquets. Des serveurs stylés (et accueillants ce qui devient tellement rare qu'il faut le signaler) ont remplacé les filles de la maison, et on ne voit plus les soirs d'hiver, la vieille matrone en train de repasser son linge dans un coin de la salle. Mais le cadre reste bucolique et tranquille, les mets savoureux et les prix dans la norme. A certaines périodes de l'année quand l'île n'est pas envahie de visiteurs, il est bien agréable de se retrouver entre amis pour un déjeuner ou un dîner "à la campagne" et le jardin, certes un peu trop bien entretenu maintenant, offre une vue superbe sur le campanile. L'endroit reste plus simple que la Locanda Cipriani et moins trappe à touristes que l'auberge du ponte del diavolo. Je vous recommande les plats à base de poissons. Le chef se fournit chez les pêcheurs de Burano et c'est toujours de l'ultra-frais.
.....
Pendant que les coquillages s’ouvrent, mettre de l’huile d’olive à chauffer dans un large faitout à fonds épais. Y verser la toate pelée et coupée et tranchées avec les oignons et l'ail finement hachés. Ajouter la pulpe de tomate, le paprika, les quatre épices et du vin blanc grossièrement. Ajouter la pulpe de tomate, le paprika et un peu de vin blanc. A la fin, je rajoute pour le goût une bonne noix de beurre frais. Laisser épaissir.
Ajouter les clovisses avec leur jus dans le faitout. Faire revenir le tout une minute à feu vif. Ajouter le reste de vin blanc en même temps que le riz que vous aurez préalablement rincé. Bien remuer pour faire absorber le liquide par le riz.
Rajouter du court-bouillon progressivement jusqu’à ce que le riz gonfle et soit parfaitement cuit (sans être collant et pâteux, sinon tout est fichu). Il faut toujours remuer en veillant à ce que le fonds n’accroche pas. Quand le riz est crémeux et donc cuit à point, ajouter coriandre et basilic ciselés, puis une noix de beurre et/ou de la crème (je ne mets plus de crème fraîche mais du soja à cuisiner,mais cela reste facultatif).
Une variante pour aller plus vite et qui donne aussi un excellent résultat : faire cuire le riz rond dans un rice-cooker. Pour une mesure de riz (rincé) ajouter une mesure et demie de liquide. En l’occurrence, du court-bouillon de poisson (3/4) et vin blanc sec (1/4). Le rice-cooker est un ustensile magique que j’utilise tout le temps. Il évite de passer sa soirée en cuisine quand on a des invités, car la cuisson traditionnelle du risotto nécessite une présence permanente jusqu’au moment de servir ! Avec ma "méthode rapide", on obtient un riz parfaitement cuit et gonflé bien imbibé du parfum du court-bouillon, et crémeux à point. Il n’y a plus qu’à ajouter la préparation à base de vongole conservée au chaud. Décorer avec les clovisses en coquilles mises de côté. Bon appétit !
03 février 2009
Un espace de parfaite beauté
6 commentaires:
- mayeul and co a dit…
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"Savoir profiter du moment présent, savoir vivre pleinement chacun instant et ne pas uniquement penser aux jours à venir, voilà un défi à relever dès maintenant ! Cueillez, cueillez dès aujourd'hui…" ALORS CUEILLONS...
- 03 février, 2009
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".... Alors la faim t’entraîne et soulève des voiles
Jusqu’alors inconnues qui s’enflent et te dévoilent.
La liane de ton corps s’étend vers le soleil
Aveugle qui te berce et te tend ses merveilles ;
Ton plaisir se conçoit du contact éternel
D’éléments ajustés à ta symbiose belle,
A la lumière fleuve déversant son souffle.
Synesthésie brutale où la mort se camoufle.
Mais déployant ta force et ton agilité,
Tu t’arraches sans heurs à sa brutalité.
..... "
La Jeune Parque .
Valéry . - 03 février, 2009
- le bord doré des nuages a dit…
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Ce blog est d'un raffinement extrême, je m'interroge sur son billet du 24 octobre...2007.
- 07 février, 2009
- Lorenzo a dit…
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Merci pour ce compliment. Est ce l'article sur le palais Clari qui vous interpelle ainsi ? Ou la peinture un peu naïve qui en représente le jardin ?
- 10 février, 2009
- romi2424 a dit…
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Vous avez réveillé mon envie de reprendre la rédaction de ce blog malheureusement interrompu par un accident qui n'est plus qu'un mauvais souvenir... et quel bonheur de figurer parmi vos sites amis et coups de coeur
- 12 février, 2009
- Pascale Chapus a dit…
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quel bonheur de retrouver Venise tous les matins, grâce à vous, Lorenzo. La grande chaîne de l'amitié traverse l'espace et le temps et nous emplit d'un sentiment d'admiration, d'émotion, d'élévation.
Merci, Lorenzo, Luca et Daniela, et tous les bloggers qui ne peuvent retenir leur enthousiasme! - 13 février, 2010
21 octobre 2007
Les galeries d'Art contemporain à Venise
Galleria l'Occhio
Galleria del Leone tenue par un français, Pierre Higonnet, elle est située à la Giudecca, juste en face de l'arrêt du vaporetto (Palanca). On y trouve de tout. Cette année, l'exposition "Constellation" de Nicolas Alquin est particulièrement intéressante.
Né à Pistoia en 1950 mais vénitien d'adoption, et après avoir terminé ses études en 1969, Stefano Contini se consacra avec passion à l'art: d'abord dans le secteur des publications spécialisées puis dans l'activité de galeriste. Aujourd'hui, il existe trois galeries d'art Contini (Venise, Mestre et Cortina d' Ampezzo), considérées comme un solide point de référence, aussi bien au niveau national qu'international. Artistes: Fabio Aguzzi, Joseph Navarro Vives, Sandro Chia, Fernando Botero, Igor Mitoraj, Anton Zoran Music, Ida Barbarico, Giuseppe Cesetti, Carlo Guarienti, ...
Galleria Tornabuoni fut fondée en 1981 à Florence. Dans chacune des galeries Tornabuoni existentes (Florence - Portofino - Forte dei Marmi - Milano – Venise) une exposition annuelle met en évidence les principaux stades de la carrière artistique d'un artiste italien ou de renom international.
Galerie Bugno
Artistes permanents: Arman, Bruno Saetti, Alighiero Boetti, Virgilio Guidi, Giuseppe Santomaso, Alberto Burri, Lalla Malavezzi, Livio Seguso, Salvo, Andrei Davis Carrara, Armando Pizzinato, Emilio Vedova...
Flora Bigai Art Gallery
Fondée en 1988, la galerie est dirigée par Flora Bigai. Elle expose les oeuvres d'artistes nationaux et internationaux tout en prêtant particulière attention aux représentants du Pop Art tels que Tom Wesselmann, Robert Indiana et James Rosenquist.
Artistes permanents: Cingolani, Clemente, Indiana, De Maria, Haring, Hirsh, Marianello, Paladino, Stella, Pignatelli, Rosenquist, Warhol, Wesselmann, ...
Galerie il Capricorno
Fondée en 1967, la Galerie d' art Ravagnan est l'une des plus anciennes et prestigieuses galeries d'art contemporain de Venise. Le propriétaire, Luciano Ravagnan, aujourd'hui épaulé par ses enfants dans l'activité, ne s'est jamais laissé influencé par les courants émergents donnant ainsi la possibilité à de jeunes artistes de s'affirmer dans le cadre national et international.
Artistes: Ludovico de Luigi, Beppe Giuliani, Aron Demetz, Guido Anton Muss, Andrea Vizzini, Primo Formenti, Piero Principi, Giorgio Zennaro.
5 commentaires: (Archives Google 2009)
Parfait, mignon, le rouge très XVIIIème ça passe, on ne fait qu'y dormir les yeux fermés, un accueil super, propre et confortable, très bien placé.
Les spaghettis vongole sur la tête d'un chauve je les mangerais, alors cette recette à essayer avec gourmandise encore les yeux fermés....le guide des instruments déjà sur la liste, Venise Baroque chez Mazenod une autre fois, il faut faire des économies pour le voyage à Noël, ce sera une Venise baroque de vive pierre avec sans doute gants et bonnets...
A votre santé, Lorenzo, car avec toutes ces suggestions de "petits cadeaux", on a le sourire aux lèvres et l'enthousiasme au cœur.
Bonne soirée!
Danielle
Je prends note et corrige le tir dans mon blog... dès que j'ai 5 minutes.
Merci pour cette fabuleuse recette,
Ciao,