VENISE,UN LIEU MA ANCHE UN VIAGGIO NELL'EUROPA CHE MI PIACE NOT THE ONE OF THE GLOBALIZATION MAIS CELLE DES NATIONS DES PEUPLES DES CULTURES, PATRIA DELLA DEMOCRAZIA DELLA FILOSOFIA DELLA STORIA LA REINE DES VILLES AU SEIN DE L'EUROPE REINE DU MONDE
27 mai 2012
La Vogalonga 2012, c'est aujourd'hui
San Zaccaria, un matin de mai
25 mai 2012
A Venise, l'Infini prend peu de place
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"[...] Enfin, un jour, il y a une vingtaine d'années, j'ai débarqué à Venise. Et j'ai cessé de rêver d'autres villes, d'autres pays. je n'ai même plus envie de voir les Pyramides, Égypte ; c'est comme si je les avais déjà connues. Alors que Venise me manque d'une façon physique, et que je pense à elle à chaque moment. Non seulement je regrette de ne pas m'y trouver mais il me semble incompréhensible qu'elle soit là-bas, sous son ciel toujours intime, que les gens entendent les pas d'autres gens qui s'approchent puis s'éloignent, ou leurs voix, tandis que moi, je suis ici.
Longtemps, je n'ai pas osé faire allusion à Venise, moins encore essayé de la décrire. J'avais peur de tomber dans le plus mièvre des lieux communs ; j'avais peur de cette rêverie que dispense toute chose insolite ; je n'avais pas encore le courage d'aimer ce qui me plaît en toute simplicité[...]
[...] Venise, je le compris alors, manque aussi de syntaxe. ville où les merveilles prolifèrent jusqu'à l'absurde - comment dire l'angoisse que suscitent ces façades admirables, parfois séparées l'une de l'autre par quelques centimètres, que nul regard ne peut entièrement saisir ? - Venise est une ville fermée, ou, plutôt qui se ferme à chaque pas, avec des profondeurs étroites où il y a comme un perpétuel engendrement de menaces, une distribution chaotique des attributions ; une ville qui se répète, se confirme et s'échappe à chaque coin de rue, et qui aboutirait à l'asphyxie s'il n'y avait pas l'eau : les canaux, la longue ondulation du Grand Canal, la lagune au-delà, la mer. Ville rebelle, dont la carte incessante cache toujours, même au connaisseur, d'autres plis et replis, et qui ne se laisse pas imaginer en entier.
A Venise, l'infini prend peu de place. Cela constitue un fait magique et aussi terrifiant que d'avoir la tête pleine de mots et de ne pas réussir à articuler une phrase. Heureusement, pour pallier la maladresse des dieux qui l'ont conçue ainsi échouée dans un lieu inconcevable, il y a les quelques architectures de Palladio, les façades blanches de ses églises, bien en vue sur la lagune, qui ponctuent le désordre somptueux, halluciné et auxquelles l'âme se raccroche. Que Venise soit mon ciel ou mon enfer, dépend uniquement de ce qu'elles se trouvent ou non dans mon champ de vision."
22 mai 2012
La phrase du jour
La basilique Saint-Marc et la Piazzetta photographiées en 1854 |
Guy de Maupassant
La petite Histoire mérite un grand H
A côté de la grande histoire, existent mille anecdotes, récits et relations d’évènements qui forment ce que péjorativement on nomme la petite histoire. Mais la vie des humbles, les faits divers, le quotidien des gens d’autrefois ont ils si peu d’importance pour avoir été si longtemps méprisés. Les temps modernes ont su redonner sa place à cette vision-là de l’histoire. Le chagrin de Louis XVI qui venait de perdre son fils aîné en juillet 1789 explique le repli sur soi de la famille royale et de ses proches au moment où à Paris les émeutiers s’en prenaient à La bastille. Le "rien" apposé par le roi dans son journal de chasse ce 14 juillet de sinistre mémoire a été longtemps utilisé par la propagande pour montrer aux français le mépris du monarque pour son peuple. Contre-vérité absolue qu’aucun historien sérieux et honnête n’ose plus soutenir de nos jours. Quand on sait qu’il fallait presque une journée pour aller de Paris à Versailles et qu’avec les évènements du jour, les courriers ne circulèrent pas facilement, la nouvelle de la prise de la Bastille ne parvint au roi qu’au petit matin. Pendant que le peuple de Paris s’égosillait contre les fonctionnaires de la citadelle et massacraient son malheureux gouverneur et libéraient les quatre ou cinq prisonniers (reclus pour dette ou parjure, je ne sais plus trop) qui occupaient la sinistre geôle et n’avaient pas l’air particulièrement mal traités, le roi chassait comme chaque jour pour tenter d’oublier le malheur qui le frappait. Ce fameux jour, il ne prit aucun gibier et rentra bredouille. Il nota alors au retour dans son journal de chasse ce "rien" qui lui fit tant de mal auprès de son peuple. Le chagrin du couple royal montre une grande sensibilité, un sens de la famille et un amour paternel digne de respect que l’hagiographie révolutionnaire a foulé aux pieds. Ce "Rien" de la petite histoire rejoint la grande, celle qui fait et défait les empires. Venant d’un univers privé où il aurait dû demeurer, il reste très lié à cette grande histoire. La véritable petite histoire, c’est celle que relate le londonien Samuel Pepys dans son journal et qu’on croise parfois au hasard de la lecture de ces livres qu’il était courant de tenir autrefois. Le seigneur - comme le curé de paroisse ou le bourgeois – notait les sommes qu’il percevait, celles qu’il prêtait, les évènements de la famille, les visites, les lectures, les travaux et le temps qu’il fait. Livres de raison, comme on les qualifie dans les catalogues de vente aux enchères. Ces petites informations, ordinaires le plus souvent, nous permettent de mieux comprendre comment on vivait alors. Elles mettent en lumière les mentalités et expliquent certaines réactions qui parfois peuvent nous surprendre. Rendant vivantes l’histoire de notre civilisation, elles permettent de comprendre son évolution. Bienheureux les élèves qui ont rencontré dans leurs études un de ces professeurs passionnés qui savent rendre vivante l’aventure des hommes et décrivent d’une manière vivante les grands moments inscrits au programme. J’avoue avoir été gâté tout au long de ma scolarité : En sixième mon professeur d’Histoire - Géographie, un certain Monsieur Gabarra, me fit rêver dès son premiers cours avec la vie quotidienne des spartiates et celle des athéniens, les textes que nous traduisions en cours de latin complétaient parfaitement les leçons d’histoire. La vie des héros, les grands évènements de l’antiquité se déroulaient sous nos yeux dans un décor vivant de jeux du cirque, de marchés, de courses et de processions religieuses. Plus tard les grandes foires du Moyen-Âge, les pèlerinages, la vie dans les châteaux-forts (nous avions tous des petits soldats Starlux avec lesquels nous organisions des tournois et refaisions la scène de la mort du Prince noir, la victoire de Talbot ou la bataille de Bouvines. L’année que je passais dans un collège anglais me permit de rencontrer un professeur d’histoire d’origine écossaise qui par ses descriptions de la vie quotidienne à Londres me fit comprendre la société anglaise, la formation du Royaume-Uni, ses cataclysmes tempérés, sa révolution. Il nous amenait dans les rues de Londres ou dans les environs et nous avons visité des lieux incroyables où palpitait encore toute l’histoire du royaume. Plus tard, en seconde, lorsque nous abordions le XIXe siècle, mon professeur par des lectures, des visites de musées, des films, nous fit aimer cette période souvent peu engageante de la Restauration. Bordeaux vénérait la duchesse d’Angoulême, fille de Louis XVI qui fut reine pendant quelques jours. Le musée des arts décoratifs abrite une collection unique de souvenirs de cette période et de cette princesse qui débarqua à Bordeaux et mena la révolte contre l’usurpateur corse. Je me souviens encore – c’était au début des années 70 ! – de notre visite au musée. Les vitrines qu’on ouvrit pour nous, les objets que nous avons pu toucher, les albums qu’on nous laissa feuilleter. Qui pourrait faire cela aujourd’hui ?
Les esprits fougueux que nous étions vibrèrent aux aventures de cette princesse comme plus tard, toujours avec le même professeur, nous avons revécu l’aventure de la duchesse de Berry, mère du Duc de Bordeaux, le futur Comte de Chambord, alias Henri V pour les légitimistes. Elle fut enfermée par la police de Louis-Philippe dans la citadelle de Blaye d’où elle repartit enceinte d’un petit gentilhomme italien qu’on avait poussé dans ses bras (procédés souvent utilisés dans l’histoire, de l’antiquité à nos jours !). Le professeur nous emmena sur place. Il fit sa leçon sur les lieux même où l’infortunée princesse fut incarcérée. Quelques années plus tard, je retrouvais ce professeur. Retraité, il vivait à Paris. Le hasard me permit de bénéficier une fois encore de ses connaissances. Il m’amena au musée Hermès où je découvris toute la sellerie commandée par le gouvernement pour le couronnement d’Henri V qui n’eut jamais lieu. Qui sait que timbres, billets et pièces de monnaie à l’effigie du monarque étaient prêts à être diffusés, que les invitations et le programme des festivités étaient imprimés quand le roi, pourtant réconcilié avec ses neveux Orléans qu’il reconnut pour ses héritiers légitimes et donc héritiers légitimes de la couronne de France, fit marche arrière en refusant le drapeau tricolore, prétexte qui fut utilisé par les radicaux républicains pour que le peuple désavoue son roi et le perçoive comme un réactionnaire… Encore la petite histoire…
lVue du palais Vendramin peint par la princesse. |
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Le Palais Vendramin en 1854 |
21 mai 2012
Alain Delon jeune Premier à Venise
Accointance et familiarité
20 mai 2012
Venise en mai
09 mai 2012
On ne peut devenir qu'autant qu'on soit déjà
______
3 commentaires
02 mai 2012
La Venise d'avant (1)
"Gelido in ogni vena", Vivaldi chanté par Cecilia Bartoli
4 commentaires:
- Gérard a dit…
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Un joli article !
Il faut toujours pour le grand Antonio à chaque fois remettre l'ouvrage sur le tapis tellement il fut vilipendé , maltraité , etc , etc , ....
Perso , " La Stravaganza " ou " La notte " , et ce , dans la nuit froide et noire de la Sérénissime .
La clarté cristalline de son violon , de sa flûte , telle qu'elle est parce qu'il l'a voulue ainsi , suspendue au milieu de l'orchestre , nous guide , on la suit dans le dédale de partout : elle nous envoûte à tout jamais , son but .
Il percevait les sons , et les sens , comme peu .
Et nous les rend , 3 siècles après , merveilleusement intacts .
Un vrai artiste authentique , en somme !
Sa plus belle qualité .
Une individualité immortelle .
Et bien sûr , par là , très très précieuse . - 02 mai, 2012
- kate.rene a dit…
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Celui qui disait bêtement que Vivaldi avait passé sa vie à écrire le même concerto était Igor Stravinsky !
- 22 mai, 2012
SUBLIME ! Comme Venise.
Merci Lorenzo.
Gabriella
Il y a encore des musiciens, baroqueux pour la plupart à ma grande surprise, qui font leur la perfide flèche de Stravinsky - qui n'est ni à son honneur ni au leur ce me semble - mais il faut rappeler qu'à l'époque où le musicien russe disait cela, on connaissait de Vivaldi peu de choses et toujours les mêmes qu'on ne savait jouer qu'à la manière pompeuse du XIXe avec des instruments à un diapason bien différent de celui de l'époque du prêtre roux !
01 mai 2012
Premier matin de mai
30 avril 2012
Dimanche. Un livre, un gâteau, et la musique de Bach.
Crédits photographiques © OliaiKlod |
29 avril 2012
La pluie, encore et toujours...
Bordeaux et une partie du pays sont noyés sous des trombes d'eau. Pendant ce temps, Venise ce temps voit la température monter et le ciel se dégager... Ce printemps est bien surprenant.
5 commentaires:
- anita a dit…
-
Ouf !!!!!!
En effet mon séjour à Venise ( 09/19/04 ) fut "mouillé" mais réjouissant quand même ! bon dimanche!
anita
- 29 avril, 2012
- VenetiaMicio a dit…
-
Les jeunes ont l'air heureux quand même !
Espérons que le soleil sera au rendez-vous en mai, la dernière fois que je m'y suis trouvée à cette période là, le temps avait été mitigé.
Je croise les doigts !
Bon dimanche
Danielle
- 29 avril, 2012
-
-
En Limousin il pleut aussi. Heureusement, le jaune de la barque
vénitienne et les rires des jeunes gens sous leurs parapluies
ensoleilleront cette journée, que je vous souhaite joyeuse, Lorenzo.
Anne
- 29 avril, 2012
- Géraldine a dit…
-
...je suis restée plusieurs jours sans venir vous lire et j'apprends
aujourd'hui la fin de ce blog - et sa résurrection! OUF! Je ne commente
jamais (peut-être une fois ou deux, depuis deux ou trois ans que je vous
lis...) mais je vous lis assidûment et avec bonheur... Surtout,
continuez, et merci pour tout!
Bonne journée (à Lyon, le ciel est bleu, le soleil brille...pour le moment!)
G
- 29 avril, 2012
-
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Sur le site de blogspot
ici>>>http://www.blogger.com/template-editor.g?blogID=4010125631613458355
Il serait préférable de choisir le mode simple et aussi ajuster l'écran. Moi je ne vois rien dans la zone supérieure noire.
Fredéric
- 29 avril, 2012
Plus de peur que de mal !
9 commentaires:
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- ouf, me voilà rassurée, je n'arrivais même pas à laisser un commentaire!
-
29 avril, 2012
- Robert M a dit…
- Il suffit de ne pas trembler devant l' hydre informatique Bravo pour la nouvelle présentation , une petite réticence pour les bandes noires, Venise est trop vivante pour y avoir droit ! Avis très personnel et même si elles perdurent je serai fidèle.
-
29 avril, 2012
- VenetiaMicio a dit…
- Voilà une bonne chose ! Comme je vous l'avez dit hier, il suffit de
prendre un peu de temps, après les jours qui suivent sont là pour
améliorer le nouveau look afin de revenir à celui qu'on aimait
précédemment. J'ai joué avec les fonds, avec les encadrements, les
écritures etc...
Dommage ce film foncé sur votre bannière, on ne peut plus lire votre texte et il semble apparaître une image magnifique derrière ?
Mais c'est juste mon appréciation personnelle.
A très bientôt
Danielle - 29 avril, 2012
-
- Je suis ravie de vous retrouver, Lorenzo, et je vous félicite pour le
nouveau fond de votre blog. Mais l'essentiel, ce sont vos articles, que
j'ai toujours du plaisir à lire, même si je ne laisse pas de
commentaire. Passez un bon weekend!
Anne -
29 avril, 2012
- Maïté a dit…
- Tout est bien qui finit bien !
Bon dimanche Lorenzo, a presto ! -
29 avril, 2012
- J@M a dit…
- Je n'ai pas eu le temps de m'en inquiéter et je découvre aujourd'hui
cette nouvelle présentation qui m'a surpris, je dois le dire, avant d'en
lire l'explication.
Je suis sûr qu'un peu de peaufinage la rendra aussi bien (et même mieux) que la précédente. Et puis, en effet, l'important n'est il pas ce qui est dans la boite ?... - 29 avril, 2012
-
- Ouf! J'ai eu un moment d'angoisse hier soir en rentrant de vacances: je tombais sur de petits encadrés dans tous les sens à la place de votre cher blog. Cette présentation est un peu moins plaisante mais vous allez nous l'arranger. L'essentiel est que rien ne soit perdu ! Quant aux vacances, j'y ai souvent pensé à Venise et à ce qu'elle pourrait devenir; j'étais à Dubrovnik, un petit bijou qui s'est totalement vidé de ses habitants et où l'essentiel des logements est voué au tourisme. Trois malheureuses épiceries pour y faire des courses de base et des boutiques de souvenirs en veux-tu en voilà. Puissent les vénitiens réagir à temps avant d'en arriver là...
- 29 avril, 2012
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- Merci à tous, j'ai pris note de vos avis et je vais continuer à peaufiner ce nouveau Tramezzinimag ! Votre soutien et votre fidélité me sont une grande joie !
-
30 avril, 2012
- oliaiklod a dit…
- Bravo GRANDE Lorenzo !
WordPress a ses avantages, mais aussi ses contraintes... - 04 mai, 2012
27 avril 2012
Fin (contrainte et forcée)
12 commentaires:
-
- Quand vous êtes dans le mode "Conception", il y a une roue dentée complètement à droite avec une option "Ancienne interface Blogger".
Mais probablement l'avez-vous essayé. Sinon, a bientôt de vous relire comme nous l'espérons tous.
JCC - 28 avril, 2012
- anita a dit…
- ...pendant quelques années vous avez été le seul blog sur Venise que je me hâtais de consulter avant de me lancer dans ma "vraie" vie ... merci pour ces moments-là et à très bientôt ! ...forcément ! Anita
- 28 avril, 2012
- Veneziamia a dit…
- Bonjour Lorenzo, j'espère vivement que nous pourrons à nouveau vous lire. C'est avec un grand intérêt que j'ouvrais chaque jour votre page car vous êtes une mine précieuse pour tous ceux qui aiment Venise, et nous sommes nombreux. On peut sans doute vous joindre par courriel, heureusement.
A presto...
Françoise - 28 avril, 2012
-
- Vous ne pouvez pas nous abandonner ! Essayez ce que dis Jean-Claude. Au plaisir de vous revoir bien vite Agnès
- 28 avril, 2012
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- Gardez courage, Lorenzo! Parfois Internet bloque sans raison apparente, mais tout revient à la normale au bout de quelques jours. Je suis certaine qu'avec un peu de patience vous retrouverez le plaisir de publier et nous, celui de vous lire. A presto! Anne
- 28 avril, 2012
- VenetiaMicio a dit…
- Cher Lorenzo, je me suis trouvée devant le même problème que vous-même, il y a quelques jours maintenant.
Malencontreusement me trouvant devant le fait accompli, j'ai appuyé sur la touche dynamique et la page présentée n'était plus du tout dans le ton que je lui avais donné, des photos occupant toutes la page.
N'ayant pas trop de temps, j'étais prête à m'arrêter également.
Après réflexion, je ne suis pas une experte mais tenace, j'ai cherché à reconstituer un peu le VenetiaMicio que j'avais avant, je crois que j'ai récupéré l'ensemble, sauf le titre ...
Ne vous découragez pas et ne nous privez surtout pas de Tramezzinimag qui fait partie de mon quotidien depuis très longtemps maintenant.
A presto
Bien à vous Danielle - 28 avril, 2012
- Enitram a dit…
- È triste per noi e per voi ! A bientôt !
- 28 avril, 2012
-
- Dans Googel
http://www.google.fr/search?hl=fr&q=tramezzinimag&bav=on.2,or.r_gc.r_pw.r_qf.,cf.osb&biw=821&bih=448&wrapid=tlif133562242847010&um=1&ie=UTF-8&tbm=isch&source=og&sa=N&tab=wi&ei=NPubT8D6G8vS4QSJ9tGpDg#q=tramezzinimag&um=1&hl=fr&sa=N&tbm=isch&bav=on.2,or.r_gc.r_pw.r_qf.,cf.osb&fp=1&biw=1067&bih=522
Tout est conservé. Où est le problème ?
Blogspot propose une alternative il suffit de la suivre.
Maintenant je propose aussi d'exploiter les énormes ressources de Facebook : on peut poster des messages et des belles photos, mieux que dans blogspot.
Réactivez votre facebook.
Voilà la bonne solution.
Fredéric. - 28 avril, 2012
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- Merci pour vos encouragements et vos conseils. Le travail est assez lourd, mais je vais essayer de recréer tout ce qui a disparu. heureusement les messages sont toujours là ! Si par hasard un lecteur avait eu l'idée d'enregistrer le blog. j'avais bien une sauvegarde mais le disque sur lequel elle se trouvait a rendu l'âme ! Quand le sort s'en mêle !
- 28 avril, 2012
- oliaiklod a dit…
- Quand j'ai lu ton annonce sur FB j'ai craint le pire ! Mais le contenu extraordinaire est toujours là... OUF ! Il ne faut pas croire, mais ailleurs ce n'est pas mieux. Notre ancien blog nous a redirigé d'autorité sur WordPress, c'était à prendre ou a tout perdre... finalement, nous n'avons pas perdu au change, mais là aussi, ils ont la fâcheuse manie de changer des choses "pour améliorer", sauf que avant que tout fonctionne bien, les "améliorations" prennent bien la tête. Nous restons persuadés que tu retrouvera tes marques après les changements et que nous retrouverons tes billets savoureux qui, parfois nous donnent idée d'aller voir tel ou tel endroit, parfois nous donnent envie d'écrire nous aussi, ou parfois au contraire... nous décident à mettre un lien vers ton blog (quand le travail est bien fait, à quoi bon le refaire ?)... Courage, ne désespères pas et à bientôt (pour nous) la joie de te lire à nouveau...
- 28 avril, 2012
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- "Rien ne se perd, tout se transforme..." c'est comme re-découvrir Venise à chaque visite. C'est tout ce qui bouge qui fait avancer, donc... avançons encore ensemble, per favore, Lorenzo !
Veneziamente
Gabriella - 29 avril, 2012
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- Voilà, c'est reparti ! Merci à tous et désolé pour la perte de sang-froid ! Bon dimanche à tous !
- 29 avril, 2012