Une image ordinaire de la Venise ordinaire, sur "Vincent" (*) la très belle chanson de Don Mc Lean, une merveilleuse mélodie qui résonne ce matin dans la maison et exprime bien notre état d'âme ici devant tant de beauté, devant cette lumière incroyable et cette douce mélancolie qui nous prend lorsque déjà nous devons songer à repartir...
Starry starry night
paint your palette blue and grey
look out on a summer's day
with eyes that know
the darkness in my soul.
Shadows on the hills
sketch the trees
and the daffodils
catch the breeze
and the winter chills in colors
on the snowy linen land.
And now I understand
what you tried to say to me
how you suffered for your sanity
how you tried to set them free.
They would not listen
they did not know how
perhaps they'll listen now.
Starry starry night
flaming flo'rs that brightly blaze
swirling clouds in violet haze
reflect in Vincent's eyes of China blue.
Colors changing hue
morning fields of amber grain
weathered faces lined in pain
are soothed beneath the artist's loving hand.
And now I understand
what you tried to say to me
how you suffered for your sanity
how you tried to set them free.
perhaps they'll listen now.
For they could not love you
but still your love was true
and when no hope was left
in sight on that starry starry night.
You took your life as lovers often do;
But I could have told you Vincent
this world was never meant
for one as beautiful as you.
Starry starry night
portraits hung in empty halls
frameless heads on nameless walls
with eyes that watch the world and can't forget.
Like the stranger that you've met
the ragged men in ragged clothes
the silver thorn of bloddy rose
lie crushed and broken on the virgin snow.
And now I think I know
what you tried to say to me
how you suffered for your sanity
how you tried to set them free.
They would not listen
they're not list'ning still
perhaps they never will.
.
* Chanson composée par Don Mc Lean et dédiée à Vincent Van Gogh, devenue un peu l'hymne officiel du musée Van Gogh d'Amsterdam. C'est notre item à Venise.



Faire
dessaler au moins deux jours 500 g de morue dans un mélange d'eau et de
lait. Cuire au moins 20 minutes. enlever les arêtes et émietter le
poisson à la main ce qui est mieux qu'au mixer (il faut éviter d'obtenir
une purée). Travailler ensuite longuement avec de l'huile d'olive au
pilon dans un mortier en ajoutant sel et poivre jusqu'à obtention d'une
pâte. Au dernier moment ajouter du persil, de l'ail et de la ciboulette
hachés finement. Consommer froid avec de la polenta grillée.Au Pays
basque, on ajoute du piment d'Espelette et on mange cette bacalà avec
des pommes de terre. D'ailleurs si vous ajoutez à la crème 


Il créera ainsi des lampes en verre en collaboration avec la verrerie
En voici une partie dans une traduction approximative : ''[...]Et maintenant repose Emilio. Mais Emilio ne repose pas non plus dans cet ailleurs où il se trouve désormais parce qu'il est une inquiétude du coeur qui ne trouve pas non plus le repos dans l'au-delà. Si Dieu existe, ce Dieu aime les coeurs qui cherchent toujours"...''Il y avait un Vedova que tout le monde connaissait, dramatique et expressif, le Vedova des collisions de situation, des images prises comme un conflit, comme un cri ; mais il y avait en lui une opposition entre la volonté de parler de soi, d'intervenir, de s'exprimer et sa dimension intérieure lyrique, réfléchie, méditative de grand espace et de grand silence qui ne se voyait pas directement dans ses œuvres mais en était l'âme..."
Le maire a évoqué la petite pièce toujours dans un désordre apparemment chaotique dans laquelle 
lumières restées allumées dans les autres salles vides, j'ai l'impression de traverser les siècles et de n'être plus au XXIe siècle mais au temps des écrivains vénitiens dont j'étudie les textes. Étudiant, je venais déjà beaucoup ici. J'y ai découvert l'histoire de Venise, les écrits
penchés sur des ouvrages de littérature, de sémantique ou d'histoire. Comme nous avant eux, ils restent là des heures, prenant des notes puis descendent dans le jardin ou sur le campo pour fumer une cigarette, boire un café et se détendre. Puis quand vient l'heure de la fermeture, tous se répandent dans les ruelles vides et disparaissent dans la nuit, tout enivrés des mots et des idées dont ils se sont nourris des heures durant..









Quand vous serez à Venise, passez-y, je vous certifie que vous ne serez pas déçus ! Très discrète, cette maison à sa place parmi les plus fameuses comme
le man nel catturara 

Mille mercis Jean-Claude pour ce joli moment illustré par la belle voix de la soprano lyrique 









La première , endormie négligée , faussement bas bleu , très effilée , se demande si Jane Avril n'a plus vingt ans .
Comme le temps passe !
La seconde , bibi Marie von Wägen , espiègle débarquée de Charleston , se méfie .
Ironise .
Nous défie .
Les cuivres sont bien faits .
Les accoudoirs serrés .
Son petit pied est trop parfait .
La troisième , directo sortie d'un Degas , rose de non confusion , fuira le pas des deux .
En lacets .
Les trois Voltaire , qui en ont tant vu , eux , sont assoupis .
Leurs formes sont arrondies .
Comme le temps passe .
Un vrai trésor !
La quatrième me semble trop incongrue .
Modulo 3 .
Venise , c'est une femme !
Ici !