Avis aux lecteurs : Les 15 commentaires qu'avait suscité cet article ont été perdus avec la disparition du blog en août 2016. Aucune raison ne peut être donnée pour expliquer cette suppression diligentée par Google.
VENISE, UN LIEU MA ANCHE UN VIAGGIO NELL'EUROPA CHE MI PIACE NOT THE ONE OF THE GLOBALIZATION, MAIS CELLE DES NATIONS, DES PEUPLES, DES CULTURES, PATRIA DELLA DEMOCRAZIA DELLA FILOSOFIA DELLA STORIA LA REINE DES VILLES AU SEIN DE L'EUROPE, REINE DU MONDE
Avis aux lecteurs : Les 15 commentaires qu'avait suscité cet article ont été perdus avec la disparition du blog en août 2016. Aucune raison ne peut être donnée pour expliquer cette suppression diligentée par Google.
Quand j'ai créé ce blog, au
retour d'un des derniers voyages avec tous mes enfants réunis, les
peuples du continent européen étaient en effervescence. Les élites au
pouvoir voulaient à tout prix nous faire accepter leur idée d'une Europe
technocratique, celle des banques et du profit, une Europe
ultra-libérale. D'instinct les peuples ont dit non pour la plupart, et
leur non a été voué aux gémonies par ces lobbies coupés des réalités et
incapables d'envisager un autre espace de pensée que le cadre dans
lequel leur quotidien à eux évolue. Des années plus tard, il faut être
sacrément bouché et malhonnête pour ne pas reconnaître le flair des
opposants à cette Europe, la catastrophe étalée sur plusieurs années qui
avec l'Euro bouleverse nos sociétés et ruine des millions de gens. En
parallèle, se profile à l'horizon, de moins en moins cachée, une
tendance autoritariste qui ne laisse présager rien de bon. De là à dire
que nos démocraties sont sous surveillance et artificielles, il y a un
pas que Tramezzinimag ne saurait franchir. Cependant... Mais laissez-moi
vous conter cette petite histoire vénitienne (véridique) à titre
d'exemple.
Fondamenta Rio dei Servi, Cannaregio - © Tramezzinimag - 2005 - Tous Droits Réservés. |
Clichés © Yves Bauchy -Tous Droits Réservés. |
Les 7 commentaires: n'ont malheureusement pu être retrouvés. La Wayback Machine a cessé d'enregistrer les pages de commentaires à partir de janvier 2009. Quelques uns des messages envoyés directement sur le site par les lecteurs étaient dirigés vers la boîte mail du site jusqu'n 2013 mais peu ont été archivés. Jusqu'en 2010, les blogs étaient avec FaceBook, le medium le plus lu et suivi. Les commentaires créaientd e véritables forums d'échanges d'idées et parfois aussi de polémiques. C'était vivant, constructif et instructif de l'opinion générale et du mélange d'idées, de générations et de sensibilités. Tramezzinimag a été pendant ces années un espace très lu, devenu en quelques années une référence et un outil pour les enseignants, les journalistes. Nous en sommes terriblement fiers , reconnaissants et heureux.
1 commentaire :
Cette
photo est touchante, on se croirait en un temps indéterminé du XXe
siècle, peut-être les années 50 ou 60, mais pas en 2012. C'est ce
contraste qui est touchant, nous utilisons un caddie à la déco super
sympa, mais plus pratique et maniable que le "diable" des religieuses
(désolée, cela se nomme ainsi) pour aller au marché, tandis qu'elles
utilisent ce qui leur permettra de ramener leurs courses, même si leur
caddie n'est pas "tendance".
J'aime beaucoup cette photo. Bon week-end !
29 septembre 2012
« Xe un zorno de lugio, el tempo xe beo, no core na nuvola la suso nel cielo, no tira un fià d'aria, ma un sol malignaso dal qual no xe caso poderse salvar, ne passa el capeo, ne arde el cervelo, ne fa delirar, xe l'ora del sofego e della brusera, gh'è i muri che boje e scota ogni piera, i oci che lacrima, vien seca la gola, le gambe se incola, le stenta a obedir, al moto più picolo se ansa, se sua, se supia, se spua, me par de morir.»
«I rii che internandose fra campi e calete i taja Venexia in cento isolete i ga l'aqua tiepida e cossa assae rara, l'è bela, l'è ciara, la cresse pianin, xe proprio la colma, e la sula riva de boto la riva al quinto scalin, se vede un fio picolo a poca distansia, streta na corda atorno a la pansa, ch'el par na bondola molada nel brodo, che cerca ad ogni modo de sora restar, a trati afidanse a un toco de tola, ch'el sternse, ch'el mola, ch'el torna a ciapar...»
«Un altro po' capita più svelto, più scaltro, e a quelo fa seguito un altro e po' un altro, insoma into un atimo la riva xe piena, i xe na trentena parola d'onor, de grandi, de picoli, de mogi, de suti, de bei e de bruti, de ogni color, el rio se scombusola, l'è tuto un misioto de brasi, de gambe, de teste in cramboto, chi quieto se snanara, … chi soto se cassa e beve salà, chi va come el fulmine par drito e par storto, chi invece fa el morto la ben destirà,»
«Dal ponte i più pratici se butta vardando chi l'aqua buta più alta, tre quatro se struscia intorno a un palo, i monta a cavalo, i va a rodolon, e altri co impeto se buta in schenada, sguazzando la strada con un gusto baron...»
6 commentaires:
Il y a une plaque commémorative de ce grand artiste, Cesco Baseggio à la fondamenta di Borgo où il vécut de 1911 à 1934.
Une Venessia que l'on aurait aimée connaitre.
Martine de Sclos
29 septembre 2012
Serait
ce trop vous demander en temps bien sûr...de continuer d'écrire le
texte avec la traduction, j'ai cherché veinement sur le net le
poème...ce qui m'a fait passer par de jolis chemins de "traverse" mais
nenni sur le poème.
C'est tellement agréable
d'écouter, de lire et de comprendre cette prose si chantante dans ce
dialecte si particulier....et puis j'apprends ainsi quelques rudiments!
ça y est je me suis inscrite à des cours d'italien, enfin, je commence jeudi.
Merci de tout coeur.
M de Sclos
29 septembre 2012