VENISE,UN LIEU MA ANCHE UN VIAGGIO NELL'EUROPA CHE MI PIACE NOT THE ONE OF THE GLOBALIZATION MAIS CELLE DES NATIONS DES PEUPLES DES CULTURES, PATRIA DELLA DEMOCRAZIA DELLA FILOSOFIA DELLA STORIA LA REINE DES VILLES AU SEIN DE L'EUROPE REINE DU MONDE
Dix-neuvième année - Nouvelle édition. Les Hors-Textes de Tramezzinimag :
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Poignées...
A la demande de Philippe, fidèle lecteur matutinal qui connait l'une des meilleures adresses de Venise, Calle de l'Avogaria, ou on trouve encore de très beaux modèles de ces poignées de bronze typiques de la décoration vénitienne et qui ornent les portone
(portails d'entrée des palais) mais aussi les portes en placage de bois
précieux qui se trouvent à l'intérieur des vieilles demeures. En voici
quelques exemple glanés ci et là (Merci à Max du Campiello notamment). Il existe encore deux ou trois fondeurs dont le plus ancien près des Fondamente Nuove qui possèdent les moules d'origine des XVIe et du XVIIe siècles.
TraMezZiniMag Galerie : Geoffrey Humphries
En fouillant dans ma malle aux souvenirs vénitiens, j'ai retrouvé hier
soir les lettres d'une amie qui fut longtemps proche d'une très jolie modèle française qui est depuis ces années-là la muse de Geoffrey Humphries, peintre d'origine anglaise qui vit et travaille depuis 40 ans à Venise.
Plus connu sous son seul prénom, l'homme a marqué une période de la vie mondaine et artistique locale. Sa peinture est aujourd'hui très recherchée. Je me suis souvent rendu lorsque j'étais étudiant dans sa célèbre maison de la Giudecca où il recevait beaucoup. Hôte charmant et généreux, il tenait table ouverte et les soirées chez lui étaient fort agréables, le buffet largement garni et les verres toujours bien remplis. La compagnie
joyeuse. C'est aussi un très bon musicien (il joue admirablement bien de la guitare) et un hôte chaleureux. Peintre expressionniste, coloriste flamboyant, il transmet avec son pinceau toute la fougue et l'enthousiasme d'un homme du Nord conquis par la lumière et l'art de vivre du Sud. Depuis longtemps installé au bord de la Giudecca (depuis 1966),il sait retranscrire l'atmosphère unique née de la lumière, des reflets. Ses toiles, qu'il s'agisse de paysages ou de nus sont toutes remplies de cette atmosphère si particulière depuis toujours et dont on s'imbibe peu à peu lorsqu'on vit à Venise...
Voici donc quelques reproductions qui ne sont qu'un bref aperçu de sa peinture où la femme est fêtée avec presque toujours un paysage vénitien dans l'encadrement d'une fenêtre ou d'une porte.
posted by lorenzo at 20:22
La première , endormie négligée , faussement bas bleu , très effilée , se demande si Jane Avril n'a plus vingt ans .
Comme le temps passe !
La seconde , bibi Marie von Wägen , espiègle débarquée de Charleston , se méfie .
Ironise .
Nous défie .
Les cuivres sont bien faits .
Les accoudoirs serrés .
Son petit pied est trop parfait .
La troisième , directo sortie d'un Degas , rose de non confusion , fuira le pas des deux .
En lacets .
Les trois Voltaire , qui en ont tant vu , eux , sont assoupis .
Leurs formes sont arrondies .
Comme le temps passe .
Un vrai trésor !
La quatrième me semble trop incongrue .
Modulo 3 .
Venise , c'est une femme !
Ici !