18 décembre 2007

Juste pour rêver


Quand l'été s'en reviendra, quand la chaude lumière d'avril fera resplendir les façades des palais et que miroiteront à nouveau dans l'eau claire et bleue comme le ciel les campaniles, nous irons de nouveau par les calle, les rughe et les campi, avec cette petite musique dans la tête. Mais de qui est-ce déjà ? Ces cordes endiablées, ces flûtes doucereuses qui chantent comme chantent les oiseaux. Venise alors nous apparaîtra rayonnante et joyeuse.


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1 commentaire:

venise86 a dit…
J'ai découvert des droits de propriété là où je croyais le monde libre à condition d'être civilisé, et de nommer les sources... j'ai eu envie d'avoir une cigarette sous la main...

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