



Cela n'a l'air de rien, mais c'est une augmentation conséquente qui n'a pas vraiment d'explication logique d'après les services concernés.



Au marché souvent les prix ont changé parce que, normes européennes obligent, de plus en plus de produits ne viennent plus des environs immédiats mais de tous les coins d'Europe. Ainsi, avec la baisse de qualité des fruits et des légumes on observe une augmentation des prix. A titre d'exemples, voici quelques prix relevés en décembre à Venise,
sur un étal normal (je veux dire non réservé aux touristes) : tomates : 3,50 euros le kilo (contre 2,49 à Chioggia, à titre d'information), courgettes, 2,60 euros, brocolis 2 euros, salade 1,60 euro, chou-fleur 2 euros, oranges 2,40 euros et mandarines 2 euros. A Murano, un paysan de Mazzorbo vend sur sa barque de belles salades à 80 centimes, des carottes à 60 centimes le kilo et de splendides courgettes à 1 euro... Mais là-encore ne polémiquons pas. Nous vivons une époque moderne comme disait Philippe Meyer à la radio !Mais libre aux peuples de s'interroger sur la viabilité de cette Europe ultra-libérale que les technocrates européens sont en train de nous imposer... Le réveil sera douloureux. C'est à craindre !
